mardi 30 décembre 2008

Vols (ou semblables) en temps de Noël ...

1 ... Bagage recompensé à Arles, aussi en temps de Noël (julien calendrier)

2 Mon compte Facebook ne respond plus à mon adresse électronique et mon mot de passe. C'était il y a une heure environ mon dernier login était sur l'ordi du Secours Catho. Quand j'avais marqué des amis pour les inviter à mon groupe Keep Utah Moral, je cliquais sur "envoyer" et dut me reconnecter, ce que fut impossible avec la même adresse électronique qui m'avait servi et le même mot de passe.

Soupçon: réseaux psychiatriques ou franc-maçonniques (ou les deux) qui me traquent pour me "protéger de moi-même" ou pour me donner "un parcours initiatique". Mon groupe Keep Utah Moral n'est pas au goût de ces gens là.

jeudi 25 décembre 2008

Joyeux Noël, lecteurs

Glad Jul, läsare
Fröhliche Weihnachten, meine Leser
Merry Christmas, readers!

mardi 23 décembre 2008

Between Sunday of Genealogy and Christmas Day

I am referring to Fr Huneycutt that Jesus of Nazareth is indeed the end of this genealogy, since He is also indeed the Christ.


Part 1 , Part 2 , Addendum., Part 3 , Part 4 , Part 5 , Part 6, Long But Final

This on - and against - Dan Brown's bestseller and blasphemy "da Vinci Code"

PS:

Why did Sophie finally believe Teabing? Was she too polite to disagree with the host? Was she under a spell? Was she so tired of being persecuted she felt totally dependent on Teabing? Was she already a half apostate ready to take any excuse for quitting Christian dogma?

Only one character is less credible than Sophie, and that is Silas. He is so out of the way as an ascetic, as an Opus Dei, as a bum.

samedi 6 décembre 2008

Bonne fête, Nicolas!

Je pense au président français notamment.

Vous auriez eu le pouvoir, je pense de ne pas supporter que le Théléton se deroule jusqu'aujourd'hui.

Je cite mon site musical:

Théléthon, DPI/DPN - non! (liens)
Je ne veux pas que ma musique soit jouée pour bénéficier au Théléton, tant que l'organisme soutient le DPI ou la DPN!

http://associations.societegenerale.fr/EIA--Des_catholiques_varois_critiquent__la_strategie_eugeniste__du_Telethon-sv-asso-rq-afp-actu-8507.html


comparaison:

"The Nazis believed that medical research had been too abstract. They proposed instead to concentrate on more practical measures. They emphasized prevention of illness, as well as cure."



http://www.lewrockwell.com/gordon/gordon24.html


Vous auriez le pouvoir de légiférer ou intervenir administrativement contre soit le Diagnostic Pré-Implantatoire et le Diagnostic Pré-Natal, soit le deroulement d'un événement qui les supporte financièrement, et les jours que ça se deroule.

jeudi 4 décembre 2008

(Les juifs ne disent pas) "Athena Parthenos"

Les dernières années ou la dernière dizaine d'années il est devenu à la mode de dire, qu'à l'époque des évangiles le mot "parthenos" ne signifiait plus "vierge", mais "jeune femme".

Je me trouvais à Lund quand on était en train de faire une étude sur le sujet. La conclusion était comme dit.

Elle est basée sur certaines analyses des textes et contextes du mot: eller ignore ou fait fi des autres.

D'abord elle fait fi d'une contexte sociojuridique chez les hébreux, dont St Matthieu. Une fille était censé demeurer vierge jusqu'au mariage, viols à part, autrement elle risquait d'être lapidé. Que cela parait inhumain n'est pas à propos: je propose pas du tout qu'on recommence les lapidations, qui faisaient partie de l'Ancien Testament, je propose qu'il y avait une telle loi mosaïque, et par conséquant les hébreux avaient besoin d'un mot pour désigner la virginité.

Et, si nous, pour ainsi dire, interrogeons la langue grèque, le mot pour vierge était "parthenos": "Athena Parthenos" comme déesse protectrise d'Athenes, "Artemis Parthenos" chez les tragédiens classiques en témoignent. Les examples sont peut-être des archaïsmes à l'époque rélévante, il sont de plus examples payens, détestés comme impurs par les hébreux, mais on ne peut pas conclure qu'il considéreraient la glosse "parthenos" comme impure, ni qu'il ignoreraient ces examples (bien entendu: leur loi leur prohibait de prononcer les nom des divinités payens!), que les hébreux d'Alexandrie (la ville de la traduction des Septante) ignoreraient la littérature classique, soigneusement codifié et "canonisé" par les doctes de la même Alexandrie. Et si la langue courante n'avait pas de mot inéquivoque pour vierge, on peut pas prétendre qu'il n'auraient pas pu prendre un archaïsme comme terme technique.

De plus, les examples dont je me souviens comme arguments pour nier que le mot "parthenos" signifiât encore "vierge" (je confesse n'avoir pas lu l'article, seulement parlé avec l'autrice ou coautrice) se basent, d'une coté sur une situation ou l'équivoque pourrait y avoir, de l'autre' sur une situation dans laquelle le concepte de vierge a évidemment été reduit à la plus superficielle, mais également la plus technique physique base du concepte.

La Septante utilise bien sur le mot "parthenos" dans la prophécie d'Isaïe, cité par St Matthieu. Et le texte masorétique utilise un mot que les hébraïstes ou des hébraïstes contemporains traduisent par "jeune femme". Mais il y a des divergeances entre la Septante et le texte masorétique qui de toute façon ne peuvent être expliqué qu'en acceptant que l'original hébreux de la Septante diffère du texte masorétique, notamment les généalogies de la Génèse qui donnent environs deux fois le temps entre création et déluge dans la Septante que dans le texte hébraïque extant. Le texte masorétique n'est donc pas un argument valable pour réinterpréter le mot "parthenos" dans la Septante.

Les livres I et II Epître aux Corinthiens, (ch. 7 respectivement 11), l'Apocalypse (ch. 14), étant ecrits aussi par des hébreux (SS Paul et Jean) donnent un contexte dans laquelle le mot "vierge", en grec "parthenos" garde tout son valeur et n'est ni reduit à une technicalité physique, ni utilisé par manque de précision.

Alors, il n'y a aucune raison de nier ou même mettre en doute, que "parthenos", dans la Septante d'Isaïe et l'Evangile de St Matthieu signifient très précisement "vierge".

H G Lundahl