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Les ordinateurs ont quelques fonctions de base. Si aucune d'entre elle n'entraine la conscience, on peut dire que l'ordinateur est une chose sans pensé, quoique pas faite sans pensé, évidemment.
Il y a la commutation de signes lisibles sur les touches en signales éléctroniques. Comme c'est une chose qui se passe automatiquement quand on pousse un bouton, on peut conclure que ce n'est pas une fonction cosnsciente.
Il y a la fonction de calcul, liée comme elle est à cette commutation des signes. Elle remonte, comme on dit dans les histoires des technologies, à l'abacus (avec boules ou avec "calculs", c à d billes), un système de plusieurs lignes sur lesquelles on déplace les billes ou de plusieurs fils de fer sur lesquelles on glisse les boules, toujours au maximum sept sur chaque ligne: cinq pour unités, ou dixaines, ou centaines, et c. deux pour les multiples avec cinq, donc pour chaque cinq, cinquante, cinq cent et c. Les cinq unités et les deux cinquaines sont séparés par une ligne centrale, en contact avec laquelle les billes ou groupes de billes comptent, en séparation de laquelle elle ne comptent pas. On arrive à cinq unités qui comptent, on les remplace par un cinquaine à l'autre côté de la ligne centrale, et les cinq auparavant cessent de compter, on les écarte du milieu. On arrive à deux cinquaines qui comptent, on les écarte du milieu pour les remplacer avec un "unité" supérieure, c à d une dixaine quand on était sur les unités et les cinq. Très évidemment ni les lignes, ni les billes ne savent quoi que ce soit sur eux-mêmes ou les maths qu'elles symbolisent. Remplacer les billes par des signales électroniques et le système de cinq/dix par un système simplifié de deux (binaire, comme on dit) ne changera pas ce fait.
Il y a la système data-base. Elle fonctionne comme pour les cartes perforés, principe également valable pour enrégistrer le son ou l'image.
Il y a, aussi liée à la commutation des signes, la fonction machine à écrire. Pour Word comme pour internet. Et pour internet il y a aussi les fonctions comme pour commutateurs téléphoniques, permettant à relier ceux qui doivent l'être, et non ceux qui ne le doivent pas. Si vous lisez le chapître/paragraphe "comment ça marche?" vous trouverez la phrase que le commutateur "sait" qu'il "doit" ou "ne doit pas" s'occuper d'un nombre. Mais si vous y pensez, ça n'est qu'un métaphore, le commutateur ne pouvant pas faire autre chose et ne sachant strictement rien, bien qu'il réagit correctement sur les signales.
Donc, aucun des fonction qui constitue les ordinateurs permet de conclure qu'ils comprennent les informations qu'ils gèrent, même s'ils le gèrent correctement.
Nous par contre, on sait aussi bien ou mieux qu'on sait qu'on ne sache que les abacus, machines à écrire et c ne savent pas. Donc, le savoir ne se résume pas en technicalités matérielles. Nous savons, parce que nous avons une âme. Ce que fait la différence la plus essentielle entre un œil et une caméra.
Il y a la commutation de signes lisibles sur les touches en signales éléctroniques. Comme c'est une chose qui se passe automatiquement quand on pousse un bouton, on peut conclure que ce n'est pas une fonction cosnsciente.
Il y a la fonction de calcul, liée comme elle est à cette commutation des signes. Elle remonte, comme on dit dans les histoires des technologies, à l'abacus (avec boules ou avec "calculs", c à d billes), un système de plusieurs lignes sur lesquelles on déplace les billes ou de plusieurs fils de fer sur lesquelles on glisse les boules, toujours au maximum sept sur chaque ligne: cinq pour unités, ou dixaines, ou centaines, et c. deux pour les multiples avec cinq, donc pour chaque cinq, cinquante, cinq cent et c. Les cinq unités et les deux cinquaines sont séparés par une ligne centrale, en contact avec laquelle les billes ou groupes de billes comptent, en séparation de laquelle elle ne comptent pas. On arrive à cinq unités qui comptent, on les remplace par un cinquaine à l'autre côté de la ligne centrale, et les cinq auparavant cessent de compter, on les écarte du milieu. On arrive à deux cinquaines qui comptent, on les écarte du milieu pour les remplacer avec un "unité" supérieure, c à d une dixaine quand on était sur les unités et les cinq. Très évidemment ni les lignes, ni les billes ne savent quoi que ce soit sur eux-mêmes ou les maths qu'elles symbolisent. Remplacer les billes par des signales électroniques et le système de cinq/dix par un système simplifié de deux (binaire, comme on dit) ne changera pas ce fait.
Il y a la système data-base. Elle fonctionne comme pour les cartes perforés, principe également valable pour enrégistrer le son ou l'image.
Il y a, aussi liée à la commutation des signes, la fonction machine à écrire. Pour Word comme pour internet. Et pour internet il y a aussi les fonctions comme pour commutateurs téléphoniques, permettant à relier ceux qui doivent l'être, et non ceux qui ne le doivent pas. Si vous lisez le chapître/paragraphe "comment ça marche?" vous trouverez la phrase que le commutateur "sait" qu'il "doit" ou "ne doit pas" s'occuper d'un nombre. Mais si vous y pensez, ça n'est qu'un métaphore, le commutateur ne pouvant pas faire autre chose et ne sachant strictement rien, bien qu'il réagit correctement sur les signales.
Donc, aucun des fonction qui constitue les ordinateurs permet de conclure qu'ils comprennent les informations qu'ils gèrent, même s'ils le gèrent correctement.
Nous par contre, on sait aussi bien ou mieux qu'on sait qu'on ne sache que les abacus, machines à écrire et c ne savent pas. Donc, le savoir ne se résume pas en technicalités matérielles. Nous savons, parce que nous avons une âme. Ce que fait la différence la plus essentielle entre un œil et une caméra.
Hans-Georg Lundahl