En Espagne on passa la pseudo-législation autorisant le mariage gay. Rappelons, je ne suis pas pour le mariage gay. Je suis pour que des gays puissent se repentir y compris en se mariant. Et ma position n'est pas due à une affection excessive envers eux, plutôt à un respect peut-être excessif envers mon pays: la discrimination à cause d'orientation y étant interdite, je suis soucieux de montrer que la loi canonique et celle qui était la loi aussi-bien en Espagne avant, n'est pas une discrimination contre les homosexuels comme personnes à cause de leur orientation. En Espagne pourtant on a pris le temps de vilifier la loi matrimoniale, de la falsifier, et ça au temps que j'étais en train de faire mon pélérinage vers St Jacques.
Et France, a-t-elle été libre de folies alors?
Non, Didier van Cauwelaert sortait un livre, blasphème dans l'intention ou non, mais certainement basé sur l'hypothèse que des scientifiques puissent réussir un grand sacrilège: cloner le Christ. En plus, que le clone serait tellement stupide que des choses comme ceci:
C'est blasphème d'imaginer qu'un clone du Christ, si par impossible ça existerait, serait tellement stupide qu'il était prèt à un tel - blasphème.
Qu'on soit clone du Christ, qu'on soit reputé descendre de lui, que des crack-pots ésotériques prétextent quelque autre chose pour faire croire à quelqu'un qu'il serait le Messie: la réponse demeure, non, on ne l'est pas, même pas avec les faits allégués. Le Messie est déjà venu.
En plus, si quelqu'un serait suffisemment mal renseigné sur ses origines proches pour croire l'histoire du clonage, d'où viendra le savoir que les cellules du clonage venaient de Jésus sur le Saint Sindone? Ou suffisemment curieux de ses origines lointaines pour croire l'histoire de Holy Blood, Holy Grail - pourquoi croire une quelconque société sécrète qui prétexte avoir existé en secret depuis des millénaires pour protéger une famille, en encore, d'où viendra le soupçon que l'Église Catholique aurait voulu supprimer cette famille?
Ensuite, le charactère Jimmy - selon le livre clone du Christ! - aurait la stupidité de croire l'évangile fictice puisque:
Un clone de Jésus serait moins intelligent que Chesterton? Il savait bien que les paradoxes ne sont pas toujours des contradictions. Perdre sa vie pour Jésus n'est pas la perdre c'est gagner: mais cette perte radicale n'est pas pour tous le monde. Et il y a pour les autres un devoir d'être fidèles. Même pour ceux qui veulent se perdre pour le Christ, il y a le devoir à la fidélité à un mariage déjà contracté et consommé, un homme et une femme pouvant se dire mutuellement de se séparer pour aller chacun dans un monastère, mais ni l'un ni l'autre pouvant le faire sans le consentiment de l'autre.
Je serais peut-être moins charitable, si Didier van Cauwelaert ne se serait pas rendu mon ennemi en ciblant mes cheveux et ma barbe comme signes de vouloir être pris pour le Christ, puisque sur une certaine page Jimmy se coupe les cheveux et la barbe pour se débarasser - heureusement, dernière signe d'inteligence quand même - . Pourtant, on peut avoir mil raisons plus honorables: royauté ou pauvreté (Jésus et St Jean Bapiste ont de cheveux et barbes longues pour ces deux raisons opposées) ou un voeu ou quelque chose pareil de ne pas se couper les cheveux ni la barbe avant de ... bon, dans le cas de Rodrigo dit El Cid Campeador, avant de prendre revanche. On connait un cas comme ça dans la BD Astérix et Cléopâtre aussi. L'ayant lu j'ai eu la prudence de ne pas faire un voeu, pourtant j'aurais mieux fait de tenir mon propos comme un voeu, car ainsi les longueurs auraient déjà dépassé l'iconographie de Notre Seigneur. Entre temps, je suis pauvre, ce n'est pas volontairement, et si on m'offre un coupe de cheveux, il prendra quelques mois avant que ça repousse et ceux qui m'ont offert peuvent encore recommencer une campagne de me prendre pour un personnage comme Jimmy.
Personne ne croirait de toute façon que Didier van Cauwelaert aurait voulu me nuire? Bon, j'étais connu dans des cercles restreints mais qui dépassaient le familiale et le local ou national. Et j'avais des cheveux longs. Et une barbe. Et encore des ennemis, parmi des psychiatres et leurs amis, avides à noircir ma réputation de santé mentale, car je m'étais défendu contre une prise en charge psychiatrique et je sortais du prison en 2000. Et j'étais tellement connu pour des prises de position qu'on pouvait qualifier de catholique extrémiste, que le milieu dont mes ennemis ont pu vouloir m'exclure est celui de par exemple St Nicolas du Chardonnet. Aussi pour me manipuler comme pion symbolique, contre ce que je croyais et ce que je crois. Mars 2004 je quitte la Suède. Même année je fais le pélérinage à St Jacques, je pars de Svallerup (déjà au Danemark) avec ce qui reste de mon salaire, je me retrouve à la frontière d'Allemagne déjà sans le sous, en plus je continue jusqu'à Saint Jacques. Pour des esprits qui ne connaissent rien de la pauvreté, qui prennent la vie sans salaire ni fortune déjà faite pour automatiquement une pure galère, mon exploit prend des airs, hélas, du miraculeux.
Mes prises de position ont en plus été en certaine contrarité avec celles de modernisation de l'Église Catholique au XX S. déjà sous Pie XII: le code canon de 1917 semble dit-on autoriser la prise d'interêt sur prêts d'argent en presque chaque cas disputé (notons: les monts de piété n'étaient pas des banques et l'interêt y servait pour payer les frais d'administration d'employés qui vivaient sobrement, sans une quelconque volonté de faire "lucre" ou profit sur l'activité essentiellement dirigé vers les pauvres, par exemple pour leur permettre de monter une petite entreprise ou de payer une dépense dans une situation d'embarras imprévu pour ne pas la perdre, les contractus trinus ont été condamnés par un pape), et il autorisait en plus la méthode Ogino utilisé en but d'éviter "encore un enfant" en des situations que je crois qu'on ne dois pas l'éviter, si on veut avoir sexe conjugal). Après Vatican II on commence en dehors du clergé non mariable pour le voeu de chasteté même parmi laïcs donc, d'appliquer ce qu'était avant la pastorale prévue pour moines ou clercs défroqués pour sodomie: j'ai dit qu'en tel cas (je n'avais même pas envisagé le cas des clercs comme modèle pour la nouvelle pastorale) un homme gay peut se marier, pourvu biensûr que ça soit avec une femme, une lesbienne peut se marier pourvu que ça soit avec un homme.
Il y a eu des gens qui m'ont pris pour le héro de van Cauwelaert, au moins qui me pitoyaient pour ça. Il y a peut-être des gens qui ont voulu ME faire dire tout et son vrai contraire, en espérant qu'à partir de ça j'irais à approuver Communisme (qui effectivement aussi interdit la prise d'interêts mais qui abolit la propriété privée), "mariage" des gays entre eux, des lesbiennes entre elles, ou encore, même sans logique apparente pour des esprits très acoustiques et superficiels, la capote. Bien, si je ne crois même pas licite de choisir les jours infertiles pour éviter d'éduquer un enfant sur un sol de terre dans une cabane de bois, ou une roulotte de tsigan, ou de mendier avec ses enfants alors je n'approuve certainement pas non plus d'utiliser la capote pour éviter ça.
Je donne une liste de mes écrits pour prouver que ceci n'est pas une prise de position récente ou évoluée, mais permanente. Dans les commentaires, pour y pouvoir ajouter.
Oh, encore une chose: on a voulu me pas seulement couper du traditionnalisme catholique (que certains comptent comme un extrémisme, il est listé dans un livre sur ce phénomène) mais aussi coller au traditionnalisme intégral: qui prétend unir toutes les religions dans une seule tradition supraconfessionnelle.
Je crois effectivement, avec Gilbert Keith Chesterton et avec Clive Staples Lewis, que les Traditions parmi les religions peuvent se comparer et donner comme résultat une philosophia perennis, mais je suis également convaincu avec eux que cette philosophia perennis n'est nullement une position sur un no-man's-land entre diverses traditions, mais que la lacune, la vraie et bonne position, est remplie par Jésus-Christ et par l'église historique qu'Il a fondé sur les Apôtres et dont Il a donné les clefs à St Pierre (Matth. 16:19) et contre laquelle les portes de l'enfer ne prévaleront point.
Hans-Georg Lundahl
BU-UPJV, Beauvais
31-V-2012
Et France, a-t-elle été libre de folies alors?
Non, Didier van Cauwelaert sortait un livre, blasphème dans l'intention ou non, mais certainement basé sur l'hypothèse que des scientifiques puissent réussir un grand sacrilège: cloner le Christ. En plus, que le clone serait tellement stupide que des choses comme ceci:
Mais en 2014, le nouveau (et gay) président des États-Unis voulant épouser son amant catholique, décide de faire un cadeau au Vatican. Quoi de mieux qu'un messie ? Coup de chance, on retrouve alors le clone disparu. Le héros malgré lui se prend alors au rôle qu'on lui a choisi et l'assume aux dépens de ceux qui croyaient le manipuler.
C'est blasphème d'imaginer qu'un clone du Christ, si par impossible ça existerait, serait tellement stupide qu'il était prèt à un tel - blasphème.
Qu'on soit clone du Christ, qu'on soit reputé descendre de lui, que des crack-pots ésotériques prétextent quelque autre chose pour faire croire à quelqu'un qu'il serait le Messie: la réponse demeure, non, on ne l'est pas, même pas avec les faits allégués. Le Messie est déjà venu.
En plus, si quelqu'un serait suffisemment mal renseigné sur ses origines proches pour croire l'histoire du clonage, d'où viendra le savoir que les cellules du clonage venaient de Jésus sur le Saint Sindone? Ou suffisemment curieux de ses origines lointaines pour croire l'histoire de Holy Blood, Holy Grail - pourquoi croire une quelconque société sécrète qui prétexte avoir existé en secret depuis des millénaires pour protéger une famille, en encore, d'où viendra le soupçon que l'Église Catholique aurait voulu supprimer cette famille?
Ensuite, le charactère Jimmy - selon le livre clone du Christ! - aurait la stupidité de croire l'évangile fictice puisque:
Mais pour le reste, ce qui me frappe, c'est les contradictions. Ils n'arrêtent pas de faire dire à Jésus tout et son contraire. Tu seras fidèle à ta femme, tu aimeras tes enfants : plaque ta famille et suis-moi. Tu honoreras tes père et mère : envoie-les bouler comme j'ai fait avec Marie et Joseph qui voulaient me scotcher à la maison ; mes vrais parents sont les inconnus qui m'écoutent. (Pages 143-144)
Un clone de Jésus serait moins intelligent que Chesterton? Il savait bien que les paradoxes ne sont pas toujours des contradictions. Perdre sa vie pour Jésus n'est pas la perdre c'est gagner: mais cette perte radicale n'est pas pour tous le monde. Et il y a pour les autres un devoir d'être fidèles. Même pour ceux qui veulent se perdre pour le Christ, il y a le devoir à la fidélité à un mariage déjà contracté et consommé, un homme et une femme pouvant se dire mutuellement de se séparer pour aller chacun dans un monastère, mais ni l'un ni l'autre pouvant le faire sans le consentiment de l'autre.
Je serais peut-être moins charitable, si Didier van Cauwelaert ne se serait pas rendu mon ennemi en ciblant mes cheveux et ma barbe comme signes de vouloir être pris pour le Christ, puisque sur une certaine page Jimmy se coupe les cheveux et la barbe pour se débarasser - heureusement, dernière signe d'inteligence quand même - . Pourtant, on peut avoir mil raisons plus honorables: royauté ou pauvreté (Jésus et St Jean Bapiste ont de cheveux et barbes longues pour ces deux raisons opposées) ou un voeu ou quelque chose pareil de ne pas se couper les cheveux ni la barbe avant de ... bon, dans le cas de Rodrigo dit El Cid Campeador, avant de prendre revanche. On connait un cas comme ça dans la BD Astérix et Cléopâtre aussi. L'ayant lu j'ai eu la prudence de ne pas faire un voeu, pourtant j'aurais mieux fait de tenir mon propos comme un voeu, car ainsi les longueurs auraient déjà dépassé l'iconographie de Notre Seigneur. Entre temps, je suis pauvre, ce n'est pas volontairement, et si on m'offre un coupe de cheveux, il prendra quelques mois avant que ça repousse et ceux qui m'ont offert peuvent encore recommencer une campagne de me prendre pour un personnage comme Jimmy.
Personne ne croirait de toute façon que Didier van Cauwelaert aurait voulu me nuire? Bon, j'étais connu dans des cercles restreints mais qui dépassaient le familiale et le local ou national. Et j'avais des cheveux longs. Et une barbe. Et encore des ennemis, parmi des psychiatres et leurs amis, avides à noircir ma réputation de santé mentale, car je m'étais défendu contre une prise en charge psychiatrique et je sortais du prison en 2000. Et j'étais tellement connu pour des prises de position qu'on pouvait qualifier de catholique extrémiste, que le milieu dont mes ennemis ont pu vouloir m'exclure est celui de par exemple St Nicolas du Chardonnet. Aussi pour me manipuler comme pion symbolique, contre ce que je croyais et ce que je crois. Mars 2004 je quitte la Suède. Même année je fais le pélérinage à St Jacques, je pars de Svallerup (déjà au Danemark) avec ce qui reste de mon salaire, je me retrouve à la frontière d'Allemagne déjà sans le sous, en plus je continue jusqu'à Saint Jacques. Pour des esprits qui ne connaissent rien de la pauvreté, qui prennent la vie sans salaire ni fortune déjà faite pour automatiquement une pure galère, mon exploit prend des airs, hélas, du miraculeux.
Mes prises de position ont en plus été en certaine contrarité avec celles de modernisation de l'Église Catholique au XX S. déjà sous Pie XII: le code canon de 1917 semble dit-on autoriser la prise d'interêt sur prêts d'argent en presque chaque cas disputé (notons: les monts de piété n'étaient pas des banques et l'interêt y servait pour payer les frais d'administration d'employés qui vivaient sobrement, sans une quelconque volonté de faire "lucre" ou profit sur l'activité essentiellement dirigé vers les pauvres, par exemple pour leur permettre de monter une petite entreprise ou de payer une dépense dans une situation d'embarras imprévu pour ne pas la perdre, les contractus trinus ont été condamnés par un pape), et il autorisait en plus la méthode Ogino utilisé en but d'éviter "encore un enfant" en des situations que je crois qu'on ne dois pas l'éviter, si on veut avoir sexe conjugal). Après Vatican II on commence en dehors du clergé non mariable pour le voeu de chasteté même parmi laïcs donc, d'appliquer ce qu'était avant la pastorale prévue pour moines ou clercs défroqués pour sodomie: j'ai dit qu'en tel cas (je n'avais même pas envisagé le cas des clercs comme modèle pour la nouvelle pastorale) un homme gay peut se marier, pourvu biensûr que ça soit avec une femme, une lesbienne peut se marier pourvu que ça soit avec un homme.
Il y a eu des gens qui m'ont pris pour le héro de van Cauwelaert, au moins qui me pitoyaient pour ça. Il y a peut-être des gens qui ont voulu ME faire dire tout et son vrai contraire, en espérant qu'à partir de ça j'irais à approuver Communisme (qui effectivement aussi interdit la prise d'interêts mais qui abolit la propriété privée), "mariage" des gays entre eux, des lesbiennes entre elles, ou encore, même sans logique apparente pour des esprits très acoustiques et superficiels, la capote. Bien, si je ne crois même pas licite de choisir les jours infertiles pour éviter d'éduquer un enfant sur un sol de terre dans une cabane de bois, ou une roulotte de tsigan, ou de mendier avec ses enfants alors je n'approuve certainement pas non plus d'utiliser la capote pour éviter ça.
Je donne une liste de mes écrits pour prouver que ceci n'est pas une prise de position récente ou évoluée, mais permanente. Dans les commentaires, pour y pouvoir ajouter.
Oh, encore une chose: on a voulu me pas seulement couper du traditionnalisme catholique (que certains comptent comme un extrémisme, il est listé dans un livre sur ce phénomène) mais aussi coller au traditionnalisme intégral: qui prétend unir toutes les religions dans une seule tradition supraconfessionnelle.
Je crois effectivement, avec Gilbert Keith Chesterton et avec Clive Staples Lewis, que les Traditions parmi les religions peuvent se comparer et donner comme résultat une philosophia perennis, mais je suis également convaincu avec eux que cette philosophia perennis n'est nullement une position sur un no-man's-land entre diverses traditions, mais que la lacune, la vraie et bonne position, est remplie par Jésus-Christ et par l'église historique qu'Il a fondé sur les Apôtres et dont Il a donné les clefs à St Pierre (Matth. 16:19) et contre laquelle les portes de l'enfer ne prévaleront point.
Hans-Georg Lundahl
BU-UPJV, Beauvais
31-V-2012