samedi 10 décembre 2011

Liberté et libertés. Un texte de M. l'abbé Grégoire Celier - lien - et mes commentaires sur deux extraits.

"Mais nous ne pouvons pas abandonner à la Révolution le terme et l'idée de liberté. Il fait partie intégrante et nécessaire de notre doctrine. Et c'est trop souvent qu'on entend des contrerévolutionnaires qui, par désir de sauvegarder le principe d'autorité, abandonneraient volontiers à l'adversaire le mot de liberté. Cela prouve que ces contre-révolutionnaires ont adopté, en fait, l'essentiel de ce qu'ils prétendent combattre. « Ils sont pour l'autorité », comme ils disent, au lieu que les révolutionnaires mettent l'accent sur la liberté. Ils n'en estiment pas moins, ensemble, que liberté et autorité sont choses qui s'excluent. Or c'est en cela que réside l'erreur révolutionnaire. Voilà où prend racine son péché. Voilà où est le noeud de l'option fondamentale."

Question pertinente

à "Et c'est trop souvent qu'on entend des contrerévolutionnaires qui, par désir de sauvegarder le principe d'autorité, abandonneraient volontiers à l'adversaire le mot de liberté." - Uniquement le mot? N'y a-t-il pas des soi-disant contrerévolutionnaires qui laissent la chose aux adversaires? Et tout en reclamant le mot pour soi, gommant chaque atteinte à ma liberté sociale dans la paroisse par la définition de la liberté, selon laquelle elle n'est pas une liberté à choisir le mal, tout en évitant de se poser la question où ils trouvent le mal dans mes démarches inhibées.

La seconde erreur est d'avoir rendu illimitée une liberté qui est, de par sa nature, limitée. Dieu n'a pas remis à l'homme une liberté illimitée dont l'usage, précisément, anéantirait sa liberté. Il a eu soin, au contraire, de placer partout devant elle un arrêt pour la retenir sur l'abîme : dans notre corps, c'est la douleur ; dans notre âme, les tourments de conscience ; dans la société, la loi et la nécessité.

Question pertinente

à "dans la société, la loi et la nécessité." - N'est-ce précisement pas dans l'augmentation des nécessités pour des plus pauvres en défiance de certaines lois que ces contrerévolutionnaires laissent de la liberté aussi la chose à l'adversaire? Une question à poser très sérieusement à St Nicolas du Chardonnet. Ce n'est pas une nécessité légale, ni naturelle de chercher au dessus de tout l'emploi. Ce n'est qu'une nécessité circonstancielle, dans certaines circonstances. Et les vouloir amplifier pour quelqu'un qui a très légalement, très moralement et très ouvertement un autre propos qui pourrait être utile tant à lui-même (en occurrence à moi-même) qu'aux autres qui y participent - sauf erreur de leur part ou persécution injuste - constitue le tort vis-à-vis moi que j'ai déploré.

Plus on augmente les nécessités de chercher "le travail" en tant qu'emploi, moins on donne l'espace à par exemple la mendicité, plus on prive des gens de leurs libertés, par exemple d'expression. Et si la définition de LA LIBERTÉ au métaphysique reste liberté ordonné vers le bien, il n'y a pas la même observation à faire vis-à-vis LES LIBERTÉS, qui sont des droits civiques. Qui sont entre autres des protections pour la possibilité de former une famille. Qu'on ne s'y trompe point, ma définition de famille est celle de la tradition catholique. Reste à savoir si les traditionnalistes savent l'appliquer ou préfèrent la réglimentation contraignante (bien contraires aux libertés des autres, donc au moins potentialement à leur liberté dans le sens chrétien et essentiel) quand il s'agit des pauvres. Un couple qui vit dans la rue, leur reconnait-on le droit des devoirs conjugaux ou est-ce que les hommes et les femmes sont mis en séparé dans les foyers? Leur reconnait-on le droit et le devoir de procréer, ou leur donne-t-on des préservatifs pour qu'ils ne le fassent pas? Pourtant, un couple dans la rue aynt ou à avoir un enfant sont prioritaires pour les assistants sociaux.

Plus on restreint les libertés des pauvres, plus on donne aux gens importants les libertés de les opprimer. Ils soutiennent tant qu'ils veulent et oppriment tant qu'ils veulent, sauf où la loi les en empêche. Par exemple la loi de 1993, selon laquelle un interdit de mendicité doit être limité dans l'espace et dans le temps. Seule la mendicité dite agressive est illégale. Ou encore, mendicité non autorisée, là où il y a des temps qu'elle est autorisée. Si au debut du siècle passé il y avait des pauvres avec des rêves contraires à la justice naturelle, il y avait aussi des riches avec des rêves contraires à celle-ci. Un des rêves était d'interdire la mendicité, pour pouvoir fausser le marché du travail en leur faveur, pour qu'ils peuvent payer mal et harceler les employés avec leurs idéalisme (désormais trop repandu par les employés de l'écôle publique) ou leur orgueil. Interdire la mendicité est une démarche de cet orgueil. Assimiler des démarches donnant donnant des pauvres - comme la musique de la rue ou mes démarches par internet - à la mendicité telle quelle en est une suite. La facilité de placer des gens socialement moins importants en psychiatrie ou des choses pareilles est une autre démarche du même orgueil. Si elle a diminué les derniers années, tant mieux. Pour une période de la France, depuis Richelieu et avant Louis XVI, on cherchait à enfermer les pauvres vagabondes dans les hôpitaux, pour les y faire servir les malades. St Vincent de Paul était pour le moins sceptique envers ça, et il refusa à donner des aumôniers à l'Hôpital de Paris.

Et si ça provoque chez certains un libertarisme aussi vers le mal - que d'ailleurs je dénonce, je n'ai jamais dit que des paires pédés ou lesbiennes doivent pouvoir se considérer ou être traités à l'égal des couples mariés, je suis contre l'avortement, et pour que la sodomie soit recriminalisée - c'est une réaction un peu désordonnée qui a néanmoins, dans la partie que est pour les libertés essentiels, une bonne base, quoiqu'elle la déborde.

Ce n'est pas parce qu'un plaisir est prisé par les pauvres qu'il est plus mauvais ou plus interdisable que le plaisir correspondant chez les riches. Ce n'est pas parce qu'un liberté est usée par le pauvre dans un cas et par le riche dans un autre qu'elle devrait être interdite au pauvre et laissé libre au riche. Et ainsi de suite. Prenons par exemple la liberté d'investissement et d'ouvrir un négoce: elle n'est pas plus mauvaise parce qu'elle commence à petite échelle sans endettement que parce qu'elle commence à grande échelle avec un crédit, donc avec une dette.*

Ni n'est une chose plus mauvaise parce qu'elle se fait à l'ancienne, et je plaide précisement pour un retour aux cierges pour s'allumer et aux feux pour se rechauffer (être contre le nucléaire n'implique pas être adepte de l'hystérie climatique ou démographique), ou pour les toilettes sèches là où il y a des jardins ou des champs pour prendre le fumier. Reruraliser la France épargnerait les ressources en salpître de Chilé, puisque les toilettes sèches dans la campagne seraient plus remplis, si vous m'excusez la grossièreté.

Tel a été mon discours pendant des années. Pour ça, et pour des faibless personnelles qui ne se voient pas dans l'oeuvre, on m'a tenu des années durant, un discours moralisant. Ce qui ne veut pas dire un discours qui donne la morale de façon équitable, plutôt un discours qui a cherché les erreurs à éviter dans ce que les paroissiens ont apperçu de ma démarche, et qu'on met les gens en garde contre les démarches pour qu'ils ne les apperçoivent pas. Comme si c'était me faire une charité.

Dans le reste, le texte de l'abbé est très acceptable. Jusqu'à banale.** Tant qu'on ne sousentende dedans les choses qu'il m'a semblé avec des raisons probables que les coparoissiens sousentendent, celles que j'ai dénoncé ici - et ailleurs. Car sinon, s'ils m'ont évité pour d'autres raisons, soit il y a eu trahison du secret du confessionel, soit une détermination de me laisser purger une faute secrète lourdement "dans le secret" mais quand même publiquement derrière mon dos, tandis qu'on répugnait à me mettre devant un tribunal et de me laisser libre après une éventuelle peine, soit les deux, soit calomnie. Précisons, que je ne semble pas avoir été dénoncé par l'autre partie, là où j'étais dans le faute.

Hans-Georg Lundahl
Bibliothèque Malraux
11-XII-2011
 
* Faire un cahier ou livre, suite. Et pour la musique, en parallèle: C'est quoi ce truc? (Texte anglais en parallèle).

** Il ne dit rien qu'un homolibéral ne pourrait souscrire dans cet article. Sauf ceux qui sont en plus directement antichrétiens. J'en reconnaîtrais certains pseudos sur les sites "gothiques" ou j'avais tellement fustigé leurs préjugés évolutionnistes et libertaires dans le mauvais sens qu'ils m'ont exclu.

mardi 29 novembre 2011

Justice or Prejudice? Plot or coincidence?

From Comments on

http://www.reddit.com/r/worldnews/comments/mt9ak/anders_behring_breivik_not_accountable_for

<http://www.webcitation.org/63YoOPQwG>

Exhibit A:

Hallucinations are not required for the diagnosis to be made. As far as symptoms go, DSM requires two of the following symptoms:

Delusions, hallucinations, disorganized speech (eg, frequent derailment or incoherence), grossly disorganised or catatonic behavior, negative symptoms (ie, affective flattening, alogia, or avolition).

Delusions bizarre enough or auditory hallucinations are enough for a diagnosis by themselves.

Youtube "schizophrenia disorganized speech" or something similar to see people who are clearly suffering from the disease but may not be hallucinating.

Schizophrenia is like cancer - so many different types of the disease all under one big umbrella term. At it's simplest, it's a disease that presents in your early 20's and eats away at grey matter in the brain, so it's very real - not a hogwash diagnosis like some would people assume given the distrust of anything psychology-related by the general public.

End of quote.

"Eats away grey matter in the brain" - That would be Alzheimer. Disorganised speech, avolia, and so on and so forth are symptoms that can be faked, should a psychiatrist so wish. Not to mention that my spelling of Swedish has been characterised by some - it is actually the old spelling, as British spelling vs American for English language, along with sometimes aa, ae, oe for å, ä, ö - as "disorganised language" and "incomprehensible".

Other comment/exhibit B:

As a mere psychology student, my personal opinion is that the definition of schizophrenic has been stretched as far as possible here. Like you say, schizophrenia is generally considered to have a biological origin, with both genetic and physiological components. Breivik refused a brain scan, so it's impossible to say if he had the physiological components, but I strongly doubt it.

What "everyone" was thinking based on his manifesto, was probably Narcissistic Personality Disorder, which also can lead to strong delusional ideas, but which rarely leads to "legal insanity" in court. The general grandiose nature of his delusions is typical for NPD, and his amount of planning and clearmindedness, are very atypical for the schizophrenia diagnosis.

The european classification of mental disorders does not include narcissistic personality disorder, so maybe that is why this kind of option was not considered.

For me (again, just a simple psychology student) the conclusion of the evaluation seems, to be honest, completely idiotic, but the long-term impact of this type of judgement might be better. (life-sentence, discrediting Breivik as a political figure, and so on)

End of second quote.

Some people who are psychiatrists would like to do two things at once:

a) enlarge the scope of disorders that may be "treated" by locking someone up (changing a frontier from Breivik on Narcissistik side of border to same Breivik on Schizophrenic side of the border);

b) make the public afraid of people with such diagnoses (it is not logical to say "if a terrorist is schizophrenic, then this schizophrenic is probably a terrorist", but the logic of suspicion works that way) and at same time prepare same public to assume a possibility of such a diagnosis in someone perfectly coherent.

Note that the man - a psychology student - who is honest about diagnosis being bosh is less honest about what should be done: For me (again, just a simple psychology student) the conclusion of the evaluation seems, to be honest, completely idiotic, but the long-term impact of this type of judgement might be better. (life-sentence, discrediting Breivik as a political figure, and so on). Are false diagnoses OK, just because they stop someone from getting influence in the future? Are psychiatrists maybe suffering collectively from some thing that might be considered bizarre and grandiose ideas? Could they, possibly, have some kind of collective - would they call it Narcissism? Have they unlimited ambition?

I write this because:

a) I have already once been in prison;

b) it was because I defended myself against psychiatry, notably against the policeman helping to lock me up;

c) that was 1998. February. 5th, Sts Agatha and Dorothy. For what it is worth, it was also before the Kosova war started an escalation of mutual distrust between Muslim and Christian world. And also before that war, I, who had not gone out of my way to upset Muslims, was deliberately set in a prison block with three Muslims and one ex-Muslim in such a manner as to make it impossible with the light of my Christian conscience to avoid it totally.

There is a difference between prejudice and justice. Killing a man on a scaffold, because he has killed 77 people, or however many they were, is justice. Locking a man up in hospitals because he has "grandiose ideas" is prejudice. Before trying to do that to Breivik - he is still not judged - psychiatrists did that to Hemingway. And a few other talented people. Of course, you can argue that Hemingway deserved it for being on the wrong side of the Spanish Civil War. I do not see that anyone deserves lies. I do not see that anyone deserves pseudodiagnoses. And when this happened, he was not exactly doing any harm in Spain, it was already in the US.

Returning to my case is it just tough luck that: a) after the shooting I did (nobody died), it is arranged that I get Muslims as enemies, and also arranged that Muslims are given cause to distrust westerners? b) just as things start looking a bit brighter for me and my blogs (including some antipsychiatry entries), this happens, on top of it all I am known to be a fundamentalist and the terrorist, at the time of the crime Free-Mason, is precisely falsely and hastily alleged to be a "Christian Fundamentalist"?

Hans-Georg Lundahl

Paris-Les Halles

29-XI-2011

PS, this is also - including the 77 victims - after French police manage to make psychiatry and psychiatry friendly or psychiatric prejudices look bad by a shooting in France:

http://hglsfbwritings.blogspot.com/2011/01/temoin-dun-faux-miracle-abbattu-par-des.html

jeudi 13 octobre 2011

Douglas Gresham, sorry!

As a book geek, when I think about changes from book to film, I think of what is left out. Like Tom Bombadil in FotR by Jackson, and like the leaving out of anti-school compulsion scenes in Narnia I & II by Disney. Hence this diatribe, which I won't delete, since what I say about school is correct. But let it no longer count as directed against you. You seem to have had a perfetly legitimate point.*

You must have been thinking about the many small changes. At least that could well be the case. If you know the books really well, as you do, and maybe a bit less I do too, some changes are apparent, though they are small. A half blooperish one was the Beavers couple and the three Pevensies getting all that close to the Castle of the White Witch when shouting for Edmund. No, actually, it was not blooperish: it added danger. And it is possible she was not looking because occupied with Edmund. A sweet one was adding the "padding" about WW-2 - the kind of scenes Hollywood excels in anyway. Mrs MacReady was so close to a female Georg von Trapp before he fell in love with Maria Kutschera in the musical. One sentence expanded into five minutes that are to the credit of the script writer. And when books were published so much less explanation about the Blitz was needed than now. And so many moments are faster when shown than when told in words.

I am getting back to the video!

Hans-Georg Lundahl

*I suppose your interview was made before Oh my, what a difference! - Prince Caspian

mercredi 28 septembre 2011

Continuons sur un nouveau blog

Fortsättom på en ny blogg
Let us continue on a new blog
In novo bloggo continuamus:

http://triv7quadriv.blogspot.com

dimanche 25 septembre 2011

L'Esprit d'Escalier

Hier j'ai eu une discussion avec un homme qui me paraissait assez honnête. Mais je l'ai laissé parler un peu plus que de lui répondre, après il y a des choses qui me viennent en esprit.

a) "Les acquis sociaux sont menacés."

Il y a - crois-je - des acquis sociaux et des acquis sociaux.

Certains sont bons et durables. Le neuvième siècle, le Concile de Meaux se trouve obligé à condamner l'esclavagisme, c'est entre Paris et Reims, loin de la Méditerrannée, mais quatre siècles plus tard, c'est à peu près juste en contact avec celle-ci et les Musulmans et Orthodoxes que les Occidentaux Catholiques du Rite Latin prennent des esclaves. Là où l'esclavage fut détruit par l'église qui menaçait les maîtres avec l'enfer s'ils étaient trop durs, il n'a pas été rétabli, même s'il a du être aboli un peu ailleurs, dans les colonies, bien après. Tant que le Christianisme demeure, l'esclavagisme ne peut pas se montrer très ouvertement. Seulement au fur et mésure que le Christianisme s'effrite, l'esclavagisme réapparaît sous autres noms et désignations.

D'autres ne sont pas bons, comme l'avortement.

Mais il y en a aussi qui sont bons, quelque part, mais qui ne sont pas durables.

b) "Les retraites on y va plus tard. Pas de problème pour qqn qui roule la plume, mais pour un ouvrier des chantiers, si."

Autrefois, la retraite était normalement les enfants. Qqn qui roulait la plume pouvait bien se permettre à rester actif jusqu'à cent ans. Ou, si malgré l'aise physique le travail était mentalement pénible, investir dans une rente, devenir rentier. Qqn qui faisait les chantiers - sa retraite était la conscience et fortune de ses enfants, ou, si ses enfants n'avaient aucune possibilité ou volonté de l'aider, celle de ses camarades et voisins. Certes, l'industrialisme appauvrit le XIX S. les ouvriers tellement que c'était devenu difficile pour enfants et entourages d'aider leurs proches, tous ayant mal à faire tourner les choses en rond pour eux-mêmes, et qqs peu d'enfants. Mais ça n'était pas une fatalité, ça c'était puisque les petits entreprises se faisaient bouffer par les grandes.

Une fondation pour les retraites, que la caisse soit privée, une association obligatoire, l'état lui-même ou quoi que ce soit, n'est pas une tire-lire, beaucoup plus proche d'une banque.

Dans une tire-lire, on y met une pièce, elle y reste et on la retrouve première occasion qu'on veut, si personne n'ait volé de la tire-lire. Une banque ou une caisse pour les retraites ou une assurance n'est pas ça. Ce qui reste n'est pas la pièce matérielle, ni donc leur somme exacte par ajouts successifs, mais la somme des droits acquis pour le futur en revanche d'un dépôt présent. Car la banque ou l'assurance ou la caisse pour retraites va aussi-tôt dépenser la somme, matérielle ou idéelle, en d'autres obligations de versement et le jour qu'elle aura à vous reverser votre dépôt, elle comptera sur les dépôt qu'on faira alors. Dans le cas des retraites, les retraites futures, pour les avoir réellement, il ne faut pas juste avoir acquis les droits par cotisations, il faut qu'il y aura dans le futur suffisemment des gens qui côtisent de leur tour.

Avec la dénatalité, il n'y en a pas.

Ni avec les naissances françaises de souche, il y en a trop peu, ni avec l'immigration, car le jour que les immigrés se rendent compte qu'ils peuvent voter un autre système et ne plus avoir à côtiser aux retraites des gens qui ne sont pas leurs proches, ils changeront le système. Pas parce qu'ils sont méchants, mais parce qu'ils ne sont pas stupides. Et vivre sous leur protection peut s'avérer pénible, encore une fois pas parce qu'ils sont méchants, mais parce qu'ils sont étrangers. Ils ont d'autres expectations sur ce que des vieillards peuvent s'attendre en absence d'avoir fait et nourri d'enfants quand ils pouvaient.

c) Les retraites sont en compétition avec d'autres acquis sociaux.

En tant que le Trésor Public gère en quelle que soit la façon les côtisations, les versements sont en compétition avec les autres versements du Trésor Public.

Élargir le nombre d'élèves qui vont tard encore à l'école, d'une côté ça dévalorise les diplomes en tant qu'ascensceur social, mais de l'autre côté, c'est encore une dépense en compétition avec les retraites. À moins que les côtisations soient bien mises à côté du reste et qu'elles soient la seule base - sans impôts ni emprunts à encore ajouter - des retraites.

Et l'avortement, les contraceptives, la psychiatrie et d'autres choses qui empêchent un homme de former une famille (avec ou sans son consentiment), ça coûte pour les retraites deux fois: une fois quand il y a une autre dépense que les retraites, mais aussi d'autres fois quand il y aura moins d'enfants faits qui pourront travailler et côtiser dans le futur.

La même chose est biensur vrai quand on met des filles en foyers qui autrefois auraient pu être déjà mariées:

Appel à Brigitte Saintpère, avocate à la cour, Reims

Que cet appel ne soit pas oublié!

d) "Ils coupent les retraites pour nous, mais vivent bien eux-mêmes."

Certes. L'état étant une grande et riche entreprise et la démocratie ne permettant pas qu'on s'en enriche trop longtemps par personne ou patronyme, ils font de façon de profiter tant qu'ils peuvent. Pour leurs enfants, parce qu'ils y font plus confiance que dans les retraites.

On a fait référence à dépenses de gardes de corps, de dépenses privés, des transports.

Avec un roi plutôt que plusieurs présidents successifs, il y aura moins de gardes de corps, car moins de personnes avec tels.

Les dépenses privés, moins il y en aura de politiciens, par exemple dans une monarchie, moins ça sera nécessaire.

Si - comme avant les 130 ans sans convocation des États Généraux - le parlement n'est pas un métier en autre localité que le domicile principale mais une stage qqs semaines les trois ans ou qqc comme ça, alors il y aura moins de transports.

Je viens de nommer l'Ancien Régime, alors on se demande quelles étaient les dépenses de Louis XVI, Marie-Antoinette et leurs enfants pour voyages et pour dépenses privées avant la Révolution surtout.

La Reine portait un nouveau collier avant chaque fête. Oh l'horreur, pensez-vous! Non, car d'un côté, après chaque fête il y avait une noble qui pourra se vanter d'avoir acheté le collier qu'elle avait porté à telle ou telle fête. Elle sera celle dont le mari ou galant avait offert le plus haut prix sur l'enchère. Après, pas tel ou tel pourcentage mais le tout de l'enchère était offert aux pauvres par la Reine. Elle le faisait pour soi-même mais aussi pour mettre un example à suivre. Donc les pauvres en profitaient. De l'autre côté, elle achetait tout en France, sauf dons faits par sa famille en Autriche (l'empéreur Joseph II, le futur et meilleur empéreur François) ou par des diplomates (ajoutons que les rumeurs à propos elle et Axel von Fersen sont absurdes, car il était trop professionnel et en plus il avait trop des paramours pour jouer Lancelot et Guinevère avec le Reine, c'est un insulte à la virilité du roi aussi qui n'était pas mauvaise). Un orfèvre français avait travail et pouvait gagner argent sans ni faire des choses plus pénibles, ni mendier. Il le partageait avec ses compagnons, et avec sa famille et avec les pauvres qui profitaient éventuellement de ses aumônes. Et chaque dépense de ces gens profitait à d'autres français. Item pour le couturier, pour le tissier, et c.

Un voyage en avion ou en voiture coûte pétrol, dépenses vers d'autres états, car la France n'en a pas dans sa nature. Le voyage entre Versailles et les Tuileries se faisait sur les épaules d'un peuple bien français. La fuite à Varennes comme tout autre voyage en calèche, se faisait par des chevaux français tenus par des palefreniers français, et les chevaux mangeaient foin français cultivé par des paysans français. Qui étaient aussi payés. Et qui dépensaient aussi en France.

Hans-Georg Lundahl
Beauvais
25-IX-2011

samedi 24 septembre 2011

What happened, Adam Tolkien? Now="maintenant" OR "or"

When "now" could without absurdity (though in some cases untruth) be exchanged for "right now" it means "maintenant" in French.

When that is not the case, is in "now" introducing a next step in an argument or - in some informal styles - narrative, it is "or".

Now I am here=Maintenant je suis ici.

Socrates is a man.
Now, every man is a mortal.
So, Socrates is mortal.

=

Socrate est un homme.
Or, tout homme est mortel.
Donc, Socrate est mortel.

Now, Mr Tolkien, which of the uses do you think your grandfather (or greatgrandfather?) intended when he introduced paragraph after paragraph in Book of Lost Tales Pt I with "now"? I was not happy to read "maintenant" time after time.

Hope this was a case of an old edition Christian Bourgois made, and you have been able to correct mistake in a more recent one!

Hans-Georg Lundahl
Beauvais,
24th of Sept. 2011

vendredi 23 septembre 2011

Réflections sur Dominique Resch, son livre, un extrait ...

Je suis une évidence qui marche entre les rangées des tables, une évidence debout et eux, les élèves, ils sont assis. Tout ce que j'écris sur le tableau est vérité. L'exacte vérité. Pratiquement aussi vrai que ce que l'on voit à la télé.


(mots de tête)


Je crois que ceci est une conséquence de la théologie erronée musulmane (à moins qu'il s'agisse des tout jeunes, genre début collège),où le verbe se fait livre au lieu de présence humaine. C'est effectivement un milieu avec beaucoup d'élèves de familles musulmanes, qu'il enseigne.

Je crois que ceci est une cause pourquoi l'Islam méprise les illettrés beaucoup plus que le Christianisme, et pourquoi historiquement il impose une forme d'obligation scolaire. Le Judaïsme le fait aussi, mais sans cette excuse dans sa théologie.

Je crois que ceci est pour nous les Chrétiens, y compris les Chrétiens qui sont aussi lettrés, un mobile valable d'abolir l'obligation scolaire.

Selon les autres extraits que je viens de lire, Dominique Resch s'en tire des façons que mon sens de devoir m'a interdit en 1995 à Sysslebäck*, c'est pourqui je n'ensigne plus à ce niveau là. C'est mon motif, il y a eu des histoires avant est après la non-prolongation de mon CDD à la fin du collège, en parti inventées, en partie injustement regardées, qui ont servi comme excuse des autres pour m'en exclure.

Pour l'enseignement supérieur, comme celui du récemment décédé Lucien Jerphagnon, il ne me manque pas l'aptitude, mais les points académiques. Michel Onfray pourrait s'en convaincre, s'il avait le courage d'affronter mes arguments comme ceux de son maître à l'époque - s'il me croit mal à l'aise dans les discussions rationnelles, qu'il se détrompe en lisant l'anglais des mes discussions en ligne.** Je lui ai déjà signalé que sur mes blogs j'ai critiqué ses arguments.***

Mais, en revenant à l'obligation scolaire, elle a le même problème que les mises en foyer des jeunes, que je viens déjà de signaler sur un autre message:

Appel à Brigitte Saintpère, avocate à la cour, Reims

Que cet appel ne soit pas oublié!

Hans-Georg Lundahl
Beauvais le
23 septembre 2011,
fête de St Constant et
des martyrs espagnols

*À prononcer comme "(les oiseaux se) sucent les becs". Le lieu-dit est récent, il a pu être inventé par qqn qui connait le français, bien qu'il y a aussi une étymologie suédoise.

** Les récents sur Catholic Answers Forum via le lien http://assortedretorts.blogspot.com/p/thread-from-catholiccom-more-may-be.html, les plus anciennes sur des forums qui n'existent plus mais sauvez par moi en deux étapes, sur le même blog, cliquer en haut.

*** http://hglundahlsblog.blogspot.com/p/m-onfray-et-th-daquin.html sur notre rencontre et http://gmb1lou.blogspot.com/2008/11/qqs-annotations-au-manuel-dathologie.html contre une bavure de la logique plus spécifique de son traité d'athéologie. Je ne mets pas son histoire de la philosophie en question, là il est philologue, historien de la philosophie, plutôt que philosophe argumentant de son propre chef.

mercredi 21 septembre 2011

Books from scanned notebooks/Livres des carnets scannés

Voir mon autre blog/See my other blog:

http://hglwrites.wordpress.com

mercredi 14 septembre 2011

Appel à Brigitte Saintpère, avocate à la cour, Reims

Hier, sur la gare, il y a eu un incident, une fille d'un foyer - possiblement St Louis, Foyer de la Jeune fille, était chopé en voulant aller vers Épernay, on se demande pourquoi la police a le droit de la remettre là où elle se trouve mal.

Je vous demande, s'il vous plaît, de faire une recherche (à tître gracieux) pour voir si elle est retenue malgré ses souhaits dans un foyer.

Ma sœur a eu des années gâchées par un foyer en Suède, je n'ai rien pu faire ou cru pouvoir faire. Hier non plus, je n'ai rien fait (sauf offrir de payer le trajet au personnel sncf, mais la police était déjà là). On se sent faible vis-à-vis la police. Mais ce n'est pas une raison pourquoi la police devrait avoir le droit d'aider des tyrans.

Bon, le foyer: une porte vers le jardin est très fermément fermée à clefs. En bas il y a une salle de gymnase, semble-t-il (les fenêtres sont en "verre de bulles" qui déforme tout). Ce n'est certes pas le niveau matériel, c'est quelque chose de moral qui a poussé de faire une fugue, si c'était de ce foyer là qu'elle venait.

Les polices n'ont pas touché à la fille, elle les a suivis dans leur voiture de son propre impulsion, mais après une longue négociation qui avait l'air de l'agacer (je n'ai rien entendu, presque). Sous le code Napoléon classique elle aurait certes eu déjà le droit de se marier et de sortir d'un orphélinat comme mariée. Malheureusement Chirac a changé le §144 en 2006, bien contre la loi naturelle, une conséquence est que la tyrannie exercée par des foyers et des gens de la DDASS peut continuer aussi pour la gent féminine jusqu'à 18. Et après, elle peut se transformer.

J'ai rien fait, faites quelque choses comme une Portia - c'est pour ça que j'ai mis "avocate" en féminin, comme "advocata nostra", car je soutiens qu'il y a de la symbolique mariale dans le drame de Shakespear, et non juste comme une bureaucrate de la société moderne.

Hans-Georg Lundahl
Reims
14 sept, Inventio Crucis
l'année du Seigneur 2011

mardi 13 septembre 2011

Peut-être avais-je tort ...

Peut-être les adorateurs modernes des Annunaki n'existent pas, peut-être il y a tout juste ces néo-lémuriens qui se vantent de ne pas faire l'erreur des Atlantidiens, de ne pas vanter qui que ce soit comme roi du droit, pas tellement divin dans le sens chrétien que de droit "Annunaki" ... juste un ou deux doctes qui se demandent s'ils avaient pu vérifier la venue des "Annunaki" comme von Däniken.

Néanmoins, je n'avais pas tort de voir qu'ils sont prêts à faire marcher quelqu'un derrière une découverte qui ne cesse pas parce que le dogme n'est pas finalement révélé. Il y a eu des messagers, selon cette secte, mais sans établir une quelconque église ouverte. Je devrais peut-être rendre grâce tant qu'ils ne le font pas. Les sociétés sécrètes sont suffisamment grand comme mal pour les pays chrétiens.

Ou peut-être aduler les "maîtres spirituels" et adorer les "Annunaki" ne sont que deux niveaux différents dans un même réseau. Christianophobe, ceci.

De toute façon, il y a des gens qui auraient préféré leur aventure chrétienne de former une famille nombreuse et bien catholique à l'aventure dont ces réseaux se veulent être les arrangeurs et les initiateurs.

Là, le franco-écossais ne peut pas dire que je sois trop mal documenté pour être écrivain: ma vie a été une documentation très pénible des pouvoirs sociaux et ... peut-on dire "para-légales"? ... de ces réseaux. Regulièrement, je dis vouloir une chose, quelqu'un de ces réseaux me propose autre chose, sans que j'eusse demandé quoi que ce soit en amont d'un peu d'aide immédiat, car je me trouve sur rue et parfois route, ou m'explique, éhontément, ce que je veux à moi-même, comme le faisait Alain Kapikian Avana* (il m'attribuait, erronnément, de vouloir rester dans la pauvreté quasi absolue) dans une sortie de forêt un peu dehors d'Aix-en-Provence - et ensuite la société en large me traite comme si le propos de telle ou telle personnage était le mien. Tel infidèle qui voudrait réécrire les évangiles m'approche, et l'église me traite comme si c'était moi l'infidèle. Alain me traite comme volontaire frère mendiant, et les uns me traitent avec respect pour ça, sans se soucier que je veux autre chose, et ils s'irritent quand ça leur saute trop dans les yeux que je veux autre chose, ça devient un peu fatiguant.

Il y a des choses écrites sur internet où j'ai bel et bien précisé mes plans, que ça soit financiers ou que ça soit sur le plan où je situe mon écriture: je suis essayiste et compositeur, pas prophète, je demande à quiconque sera intéressé par mes écrits de les réutiliser, par exemple imprimer comme livres** et vendre***, ou jouer mes compositions*** et ensuite de me verser une somme selon son estimation à lui ce qu'il trouve juste.***

Qui est-ce qui m'a gâché ça? Les gens de ce réseau qui répandent que ce qui m'intéresse est uniquement le spirituel. Il me semble que par là ils ont aussi inquiété mon père et ma grand-mère, il me semble qu'ils ont prié pour que je devienne moins spirituel ce qui n'arrange pas mes affaires non plus.

Ce qu'il ne me semble pas, c'est que des gens comme ça, des intrigueurs criminels, aient un quelconque droit de me bloquer la réussite aux lettres - en harcélant ceux qui auraient voulu utiliser mes propos, par exemple - sous prétexte que je sois mal documenté quand à eux.

S'ils sont irrités de moi comme anti-malthusien parce que les Annunaki seraient embêtés par trop de monde qui prenne trop de ressources qu'ils voudraient pour eux-mêmes, s'ils le sont parce que leurs maîtres spirituels trouvent le comportément réproductif trop proche des sauroïdes et reptoïdes dans la mythologie de Sheldon Nidle, s'ils le sont pour vrai par peur des prédictions de nature apparemment scientifique mais trop peu logique de l'être, peu importe, j'ai dit que les mésures pour réduire les populations mondiaux sont immoraux et catastrophiques, j'y persiste, j'y ais persisté tandis que je ne croyais pas la papauté, donc ce n'est pas un cas de pure obéissance au pape (s'il l'est, il me donne parfois des idées sédisvacantistes****), et ces gens me détestent et détestent mes écrits pour ça. Et, ils n'ont pas le droit de me faire et refaire ces blocages vis-à-vis mes écrits, en contournant ou annulant la liberté d'expression, ou en imposant une jurande aux écrivains qui, par définition, n'en ont pas ou en accusant mes écrits de quelque détail comme telle erreur grammaticale due au fait que j'ai une autre langue maternelle.*****

Et pareil, s'il y a des gens, qui sachant que je suis nul en dictat musical disent - en face des partition visités et revisités° - qu'alors je ne peux pas être compositeur, alors ma musique ne serait que des maths (ils répètent les reproches des espagnols°° populaires contre la musique viennoise classique en fait), il n'ont pas le droit d'empêcher qu'une partition qui avait plu à quelqu'un et mienne soit jouée en dépit de ça, et que j'en gagne.

Il y a des gens qui veulent vraiment vérifier que quelqu'un soit devenu homme avant de le laisser vivre comme tel, alors, parfois il ne s'agit pas de ces réseaux, parfois il pourrait s'agir d'un peuple ou d'une partie de la propre famille: là aussi je pourrais trouver ça criminel, mais avoir moins goût de dénoncer.

Hans-Georg Lundahl
Reims
13-IX-2011

*ou Avana Kapikian?
** http://recipesfromhomeandabroad.blogspot.com/2011/08/booklets-if-you-can-have-double-sided.html ou http://o-x.fr/me60
*** Conditions pour les essais et les peux de poëmes: http://shrt.st/ui1 et pour la musique: http://shrt.st/ui2, soit http://hglundahlsblog.blogspot.com/2008/03/de-retour.html#conditions et http://hglundahlsmusik.blogspot.com/2008/11/whats-deal-cest-quoi-ce-truc.html.
****http://enfrancaissurantimodernism.blogspot.com/2011/01/smassatp.html
*****http://filolohika.blogspot.com/2011/09/les-femmes-la-ils-sont-bon.html. Les mots en -eur, ça fait un peu peu que je comprends qu'ils sont féminins, et "côté" m'est paru féminin parce que finissant en -té.
°http://hglundahlsmusik.blogspot.com/2010/06/blog-post.html par exemple.
°°Dont j'aime, sinon leur préjugés, au moins leur musique, voir: http://hglundahlsmusik.blogspot.com/2008/11/sonatine-pour-guitarre-vi.html

lundi 12 septembre 2011

Oh, quand il s'agit du message "c'est drôle" ...

... je n'étais pas en train de parler de Lemurian fellowship, selon lesquels les Annunaki seraient une invention des Atlantidiens.

Si j'avais le malheur de perdre le compas de la foi catholique, alors il n'y a pas qu'une seule, il y a plusieurs alternatives, bien plus conflictueux entre eux que Catholiques et Protestants entre eux./HGL

PS: Si les uns remplacent Dieu avec "des dieux", les autre remplacent Dieu avec "la conscience" ... et ils sont tout aussi si inimicables aux ambitions normales des gens normaux, et tout aussi pour la rénonciation imposée aux pauvres, autrement ils sont en conflit dans le pourquoi.

mardi 6 septembre 2011

So Right and So Wrong


Bishop Williamson is so right about the lack of children being the suicide of our peoples.

http://www.youtube.com/watch?v=Jf3T387_E20


He is only so singularly wrong about the motives. It is not hedonism as such that bars from getting children, but stingyness. In the sins of "thy sister Sodom" the scale does not go directly from "satiety of bread" - i e hedonism as per gluttony - to "abomination before" the Lord - i e voluntarily barren sex. Between them come stinginess and even before the first and between stinginess and abomination there is pride. Now, stinginess and pride taken together has a modern nickname: "being responsible".

Responsibility of that sort whispers the despairing news - the bad and untrue news - that fulness of bread cannot be kept if you give some to strangers. It also whispers the despairing prospect of many children impoverishing the lavish lifestyle. Hedonism without that responsibility - and without being exposed to it by "responsible people" - is not in and of itself as likely to tempt either to individual or to familial tribal suicide.

Chesterton noted a line in a poet who wrote "and eat their pot of honey on the grave". Now, sitting on one's grave may be a real act of sobriety like St John digging his grave and lying down in it on the day Our Lord told him so. And eating one's pot of honey may be a real act of hedonism. But usually they go separate ways, either separate individuals or separate periods of same individual life. But a certain modern culture wants one to look into grim realities (like not being able to bask on the beach next year if you have a baby, but that is not a reality, that is only a possibility for the future, and not even a likely one if you live in a caravan or close to the beach) while enjoying sweetnesses (like basking on a beach).

In and of itself, basking on a beach is not contrary to fertility, it is being responsible - "responsible" Sodom style - that gets some looking for a place where to buy a very sodomite object now made from a material also found in balloons.

Like, on another note, in the film Dead Poet's Society, it was not the individual hedonism of the son, encouraged by the teacher played by Robin Williams, it was the responsability of the father that provoked the son to suicide. A kind of responsability very much discouraged by St Paul in Ephesians - "and ye parents, provoke not your children to wrath ..." - there is a parallel passage which adds "...that they may not fall into despair" - probably because many Christians in Ephesus were still of Jewish origin and Jews were starting rough-shod over patriarchal parenting they are still as known for as the Japanese - another people with high suicide rates.

OK, Sweden, Finland, Norway have high such too, but partly the state is now doing there what the families are doing some other places, partly also winter above the Polar Circle deprives the human organism of light: actually in the North of my country social security is paying people for sitting two hours per week in rooms with white walls, coming in white clothes and with many bright lamps - to save them from organic temptations to despair. But when it comes to moral temptations to despair and - collective or individual - suicide, a certain kind of responsability is added to hedonism before it becomes deadly.

And with prolonged practical school compulsion it has become much deadlier to be in school now, see Columbine High School - the moral condition of Cassie a few months earlier, before her conversion, tells the same story, by the way.

In the same essay Chesterton deplored the moral condition of people preferring cinema to children. But cinema, like reading, is not a question of hedonism. In some ways it is a question of vicarious suffering - of taking on the shrapnel and dig-out damp and cold in the person of John Grant when you cannot take it in your own flesh. A fake religion, not hedonism.

Hans-Georg Lundahl
Celebrating my Birthday
6 sept 1968 - 2011
in Reims

Deux Femmes Professeurs ...

L'une venait de démissionner. Mais l'autre est encore plus éloquente: elle venait d'épouser un gardien de paix. Je crois que la situation ne demande point d'explications, pour la plupart des lecteurs francophones.

Il y a deux solutions possibles:

  • rendre l'école volontaire, et le droit à l'école conditionnel à un bon comportement des parents et des élèves: donc expulser certains élèves ne relèverait plus de les priver d'un droit inconditionnel puisque confondu avec un devoir:
  • expulser certains groupes de l'école, de la ville, de la région ou du pays.


Notons: les deux solutions ne sont pas mutuellement exclusives. Leur négligence combinée est calamiteuse car elle prolonge la calamité présente, mais leur mise-en-œuvre combinée n'est pas un obstacle à leurs mises-en-œuvre séparées.

Notons aussi: ma priorité entre les deux est de refaire la liberté de scolariser ou de ne pas scolariser ses enfants et de les scolariser à chaque endroit non criminel qui les reçoit pour les scolariser. Il me semble opportun que ceux qui seraient en apprentissage auraient aussi quelques heures par semaine en accès à des cours, surtout en dessin - une bonne base pour chaque artisanat, comme le croyait Louis XVI, reputé parmi les maîtres qui ne donnaient plus cours de dessin à chaque apprenti et compagnon un roi gaspillard, parce qu'il avait voulu instituer écoles gratuites mais pas obligatoires de dessin à chaque ville, en commençant avec Paris, où il y a effectivement eu une.

Hans-Georg Lundahl
Reims
le 6 sept. 2011
jour anniversaire de mes
43 ans

vendredi 2 septembre 2011

Ces catholiques suédois ...

Sainte Ingrid de Skenninge* était suédoise:
lien


*Chenne-ingueu ou Chenne-ingué à peu près selon les dialectes avec ng anglais/allemand. Skänninge ou Skaenninge est nouvelle orthographe pour Skenninge.

mercredi 31 août 2011

C'est drôle!

Des gens qui disent que le Dieu de la Bible ne peut pas nous avoir créés, puisqu'il exige l'adoration et donc il serait infantilement égocentrique, sont néanmoins prêts à nous prétendre créés par des manipulations génétiques par les si-dits Anunaki, qui, eux, auraient besoin de nous et qui n'ont pas eu honte, selon leurs dires, de mélanger leurs spermes avec les nôtres, ni, ayant nous procréés autant ou plutôt que créés, de nous traiter ensuite comme leurs esclaves miniers.

Mais là, ce n'est pas infantil puisque utilitaire et cynique. Ou si infantil quand même, là ce n'est pas décrédibilisant d'être infantil. Exiger une heure par semaine sur les genoux serait une honte, nous exiger les heures laborables de la plus grande efficacité et de les augmenter en plus, et ça pour leur utilité et non la nôtre, ça serait comme il faut.

Guérir les malades serait faire la compétition déloyale aux médecins, mais nous montrer comment construire des pyramides sur la sueur des Hébreux ou y sacrifier des coeurs pour leurs transplantations cardiaques, ça c'est fonder la civilisation Aztèque ou Égyptienne. Resusciter des morts pourrait passer pour frivole, mais nous montrer comment faire des épées pour nous entretuer en guerres de réduction mutuelle en esclavage, ça relève d'un sérieux digne de Out of Africa ou les hypothèses des plus sérieux scientifiques!

Si j'étais aussi longtemps dans le lit les matins que le bon Chesterton à son temps, je rigolerais. Comme c'est, ça me rend indigné. Mais, malgré mes faiblesses d'humeur, c'est drôle quand même!/HGL

dimanche 28 août 2011

Two quotes from Giertych

European values, by Giertych
http://giertych.pl/pliki/European%20values.pdf

I was also severely criticised for my speech in connection with the 70th anniversary of the Spanish civil war. It turned out that I was the only speaker supporting the Catholic side in their war with the Spanish communists. I was allotted 2 minutes for my speech and nobody stopped me, so this was not a censorship incident, but the reactions also reflected the inadmissibility of opinions at variance with the political correctness dominating in the European Parliament.


I am not for all that Franco did after 1939. Cara al Sol was a very good rally song on the Catholic side between 1936 and 1939, but after 1939 if children of the defeated went to school, it was not quite considerate that they had to learn it and sing it.

But saying Franco was not the best ruler one could have wished for after 1939 - and he was still a lot better than a lot of others! - does not mean he was wrong and Azaña right from 1936 to 1939. On the contrary, Azaña was wrong and those fighting him - Franco, Mola, Yagüe, Queipo de Llano, troups from Italy and Germany and some volunteers from Ireland too - were right insofar as they were fighting him. Atrocities among these were not under Franco's direct command. Guernica was a rhetorical order by Mola taken too literally by Goering. Badajoz was Yagüe. Crying out for the bloody execution of a poet from the left - García Lorca - was the otherwise pretty humane Queipo de Llano (he took his town by guile in order to spare as much blood as possible). Franco is most memorable for:

  • - pronunciamento of Burgos (in which it is clear that he thought himself to be keeping the oath to defend the Republic and that he thought the "legal authorities" of same Republic guilty of betraying it);
  • - saving Mozcardó;
  • - fighting big battles like Teruel (where, like in the Madrid and Moscardó cases, he came to deliver the besieged or oppressed);
  • - delivering Madrid from the Reds;
  • - never signing death penalties until he had taken a good café con leche and sat down calmly to think them over - and this was the case both during the war and after it.


Death penalties and tortures in prison after the war were not only criticized by the beaten side, but also by his former comrades in arms, the Carlists. This is apparent from a book written against him by the wife of the Republic's - or former such's - ambassador in Sweden. "Even" the Carlists were against those tortures, she wrote. I am not sure why I should agree with "even", but I do not doubt that the guys from Montejurra saw a big difference between shooting a Red during the war when they were up fighting and shooting his Red son after the war when they were just trying to reorganise a resistance that Franco had no real need to fear.


The law providing acceptability of abortion when the pregnancy arose from a criminal act stems from the belief that no one should be forced into pregnancy. This is very true. Rape should be forbidden and severely penalized*. But why penalize the pre-born child? It is not guilty of the rape. Why declare a death penalty on it, for the sin of the father?


Exactly./HGL

*OK: rape victims should have a say in mitigating, if the want to, penalty, if they want to forgive and marry someone who became rapist through lack of wife - for sake of other women and for sake of child.

vendredi 26 août 2011

a connexion?

1) I have been deprived of sleep, like two three nights ago, when I was very unkindly and uncourteously woken up after less than two hours sleep and could not find a quiet place for yet another hour, plus when I did was woken up five in the morning
 
2) guestbook spammers do publicity for sleeping medication -

http://shrt.st/15km (if you look up the links to caches in two top msgs,  and then a few of the links in the caches, I would not, but if you really want to verify - do)

3) last month Malaysia has looked on this blog
 
Connexion 1 and 2 = a scam to make me loo, like I had insomnia.
 
Connexion 1 and 3 = the guy who woke me up was certainly of the Muslim Black community, the last one to keep me up after that of the Muslim Arab community. And Malaysia is a Muslim country.
 
Connexion 2 and 3 = Malaysia is a Muslim country and Muslims are very supportive of mental and bad life style and similar diagnoses, especially of people critical of Islam./HGL

mercredi 24 août 2011

protestons contre le blasphème

Ayant été informé par TFP sur "Golgatha picnic", j'ai envoyé sur la campagne de courriel un message tout autre que celui qu'ils avaient proposé, à savoir:
 
Au ministère de la culture:
 
cessez ce sale blasphème, si ce n'est pas une mauvaise info!
 
Parmi les choses qui pourraient justifier une révolte monarchiste ou réactionnaire, comme Franco en 1936 se trouve biensur le blasphème soutenu par pouvoir ou pseudopouvoir public. Voir détails sur:
 

lundi 22 août 2011

Conneries communistes et maçonniques aux lieux inattendus


deretour : Conneries communistes et maçonniques aux lieux inattendus · New blog on the kid : Y a-t-il des secrets à garder à jamais? · Φιλολoγικά/Philologica : J'aime Jean Raspail? Pas sans réserve ...

Jacques Trémolet de Villers vient de publier une lettre à une lectrice attentive. J'y dépiste au moins deux choses - utiliser le mot "conneries" est charitable - qui ont très peu à faire avec le Saint Royaume de France ou avec le Chrétienneté, mais plutôt avec communisme et maçonnerie.

Je m'excuse d'abord si dans ces mots on décèle trop peu de "bonté dans la controverse", un controversialiste qui se trouve à la rue peut avoir un peu de hargne envers ceux qui, mieux situés eux-mêmes, sont soupçonnés de lui avoir bloqué l'accès aux arènes de la controverse dans je ne sais quelle pseudo-prétexte.

Le premier que je soupçonne, que, me trouvant dans la rue, je ne compte pas, n'est pas juste un insulte à St Thomas d'Aquin et Saint Albert le Grand, mais aussi à tous les Bettelstudenten - étudiants mendiants - qui ont orné la pauvreté sans en faire un vœux éternel. Le deuxième, que je serais buveur est faux, et de croire les méthodes de le dépister comme "vrai" - tel matin une cannette en compagnie avec fêtards de la veille, tel midi faisant une sieste après trop peu de sommeil, tel endroit choisi certes dedans un immeuble mais en dehors des portes des appartements (on vit quand même dans un monde moderne où les voitures gâches le calme pour ceux qui sont vraiment dehors de même l'immeuble), c'est faire privilège à certains vrais tares de la culture algéro-islamique, voire pharisienne: comme si compagnie des fêtards était forcément fêtardise, comme si fêtardise occasionnelle serait forcément l'équivalent ou le symptôme de buverie quottidienne, comme si un homme fatigué le midi et couché dans un parc l'était forcément par l'alcool plutôt que par un réveil trop brusque, comme si un homme sobre aurait forcément préferé de se mettre dehors autre part que dans une immeuble par souci du respect - mais ce n'est pas sans respect d'espérer un bon accueil dans une telle situation, ni n'est-ce irréaliste, vu que ça m'est arrivé avant. Item pour ceux qui aimeraient me taxer de toxicomanie. Le troisième, que mes positions dans les controverses laissent soupçonner de la folie, j'y reviendrai de suite en retournant le reproche.

Les conneries - on peut dire pire et les appeler hérésies - que je trouve chez Jacques Trémolet de Villers et chez autres:

a) "l'allongément de la vie humaine"
b) "servons tous, sans égoisme"
c) obéir au Prince inconnu ou innommé et au Président nommé Sarkozy en même temps (quoique, ça paraît plutôt le privilège de Jacques Trémolet de Villers)

Prenons-les à l'ordre inverse: selon la loi naturelle nous devons avoir quelque forme de régime qui doit être publique pour la chose publique, ce que les Romains appelaient Res Publica. On a pu nommer Louis XVII son roi en faisant publiquement une chouannerie. On a pu ne pas le nommer son roi en se contentant d'être obéissant dans les choses licites au directoire ou en prenant la terreur comme motif licite de ne pas se prononcer sur la question. Dans ce cas précis, le roi était, si encore en vie, jeune et en captivité, donc incapable de se prononcer sur ses droits publiquement. Ceux qui étaient des chouans pouvaient se dire, c'est vrai, nous n'avons pas les ordres directement de Louis XVII, mais nous sommes là pour le rétablir au thrône et nous l'obéirons dès que ça sera fait. Pour Louis Alphonse de Bourbon-Dampierre, pour Henri d'Orléans, pour ses fils François et Jean, cette éventualité n'existe pas. On prend Henri pour le roi légitime, et Henri ne réclame pas le pouvoir de Sarkozy, alors: obéissance à Henri veut dire obéissance à Sarkozy, tant qu'un régime peut demander obéissance, tant que les ordres sont ni intrusions dans la vie privée ni autrement contre la loi naturelle. On prend Louis Alphonse pour le roi légitime, alors, même chose: tant que Louis Alphonse ne reclame pas le thrône, on demeure sous la Cinquième République, précisement comme les Jacobites anglais ne peuvent pas rétablir François de Bavière sur le thrône d'Angleterre avant qu'il y consente ou tant qu'il refuse de consentir. Et reclamer un thrône, ça ne se fait pas en cachette. Rêver d'un thrône n'est pas le reclamer. Rêver en cachette n'oblige personne d'autre. Mais obliger des autres, ça ne se fait pas en cachette.

Le pronunciamento de Burgos était un acte publique de Franco. Avant ce jour là, tant qu'il était juste conjuré et avant de quitter les Canaries, il ne pouvait reclamer obéissance d'un seule Espagnol pas encore au courant - et de ceux qui étaient au courant pas en fonction d'une position comme caudillo, uniquement en fonction d'une position comme colonel - et de conjuré.

Comment est-ce que je trouve cette connerie de double autorité publique et publique mais cachée chez Jacques Trémolet de Villers?

"... servons, sans attendre, celui qui est, parmi nous, à une place non choisie, mais désignée, l'héritier, et le responsable, le Prince."

Précisons que je ne fais pas la coulpe sur la poitrine des aïeux. Franco et les Chouans n'ont pas servi un homme comfortablement installé comme citoyen privé qui reclamait rien ouvertement et le tout en cachette. Ils n'ont pas encouragé des Juifs à s'ériger en "rois dans l'exile" devant la synagogue en prétextant une vie humble devant les goïm. Ce n'est pas Cadoudal ni Franco que je critique.

La deuxième connerie est royauté comme service rendu par tous les sujets. Ça ne s'appelle pas royaume, ça s'appelle alors despotie. Le roi est servi par ses soldats et ses officiers par toute leur activité professionnelle, mais par les autres uniquement par l'impôt. Un roi qui commande tout sur l'activité d'un particulier, soit il demande une politesse envers la royauté, soit il rêve de pouvoir le vraiment commander en tant que roi, et alors il devient pharaon ou shah ou ... quelque autre chose d'oriental.

"Servir le royaume aujourd'hui, c'est, sans attendre, mettre en pratique les conséquences de cet état d'esprit. C'est pratiquer, immédiatement, une manière d'être, un style, qui, sans se laisser impressioner par les étiquettes, les classements médiatico-idéologico-politiques, les chappelles et les clans, privilégie systématiquement la recherche des vrais points de rencontre."

Ceci me rappelle un "ordre" donné par Mola et pris trop litéralement par Göring. Car dans l'un cas, comme dans l'autre, il n'est pas réalisable comme ordre - sans commettre de la barbarie. Je ne sais pas si la destruction à Guernica ait même répondu à l'ordre, mot pour mot, mais un ordre comme ça, on est barbare de l'obéir. Biensûr, ces mots là sont évidemment pas des mots barbares, faire tout ça est évidemment faire une chose assez bonne, sauf pour l'ingresse: "servir le royaume aujourd'hui ... sans attendre ... mettre en pratique les conséquences de et état d'esprit ... immédiatement" - et le fait qu'il semble y avoir un ordre sur la manière d'être des personnes.

Le roi ne commande pas à la nature. Ni directement au naturel des personnes.

Comme à la fois anglophile et Scanien, donc issu des sujets danois, je me rappelle Saint Canut: il est allé à la mer, il a commandé aux vagues de se calmer et de cesser de se briser sur la plage. Les vagues n'ont pas obéi. Question de prouver que les pouvoirs de Notre Seigneur à calmer lac Tibériade ne venaient pas de sa royauté humaine, quoique réelle, mais de sa divinité? Question de prouver aux gens impressionnés par guérisons miraculeux mais juste récemment issus du paganisme qu'il n'était pas le bon Dieu? Mais aussi question de prouver que le pouvoir royal a des limites naturels. La nature et le cœur humain sont deux choses que Dieu a soustrait au pouvoir public.

La manière d'être d'une personne ne dépend pas uniquement de ses décisions volontaires. Et même en tant que ça dépende d'elles, il y en a qui ne relèvent point du pouvoir royal. L'oublier c'est se faire émule des Communistes en Russie qui voulaient créer l'homme prolétaire idéal. Ou de la pédagogie Nazie - en tant que les champs avaient pas juste une mort à donner mais aussi une pédagogie pour les survivants. Sinon peut-être déjà dans les moyens qui donnent les fruits amers (rappelons les traumatismes atroces qu'ont subi par exemple Simone Veill auteure d'une pseudolégislation atroce ou le cinéaste de Rosemary's baby ou encore l'actrice qui faisait la comtesse Dracula, qui faisait, avec toute la gentillesse possible comme personne, son métier en donnant l'horreur aux spectateurs), au moins dans le démésuré de l'ambition.

Aragorn - pour prendre un exemple fictif mais bien à propos - se posait les mêmes devoirs, mais il ne les exigeait pas de chaque Hobbit de Bri ou du Comté.

L'ancien régime n'était pas le temps où chaque homme avait son Seigneur et chaque Seigneur son Service au Roi. Il était le temps où les artisans étaient plus souvent maîtres pour leur propre compte, sous les règles de la jurande, beaucoup plus d'indépendance et moins de dépandance sur des employeurs qu'aujourd'hui. Il était le temps que les serfs se coupaient, sauf sous les avocats rapaces et mal interprétant les vieux accords comme cumulatifs dans les pouvoirs, de plus en plus liberté vis-à-vis leur Seigneur. Il n'était pas le temps d'absense de démocratie, mais le temps où les démocraties étaient suffisemment petits pour être démocratiques.

Je cite maintenant une page lié à une autre, celle-là templière. Elle est très fumeuse, voir maçonnique:

Le Roi est à la fois phare et balise pour l’humanité.

Balise, principalement contre l’orgueil des hommes. Le pouvoir, la position sociale, la fortune ne sont que dépôts temporaires de Dieu. L’Homme doit tendre à se détacher de ses avantages terrestres, à la fois pour ne pas tomber dans le malheur en cas de revers de fortune et, à la fois, pour baigner dans la félicité du devoir accompli vis-à-vis de ses semblables.

Phare, pour une imitation de Jésus-Christ reliant le terrestre au céleste; la position terrestre constatant l’inégalité et la hiérarchie naturelle qui en découle. Ainsi, l’effort que l’on doit fournir pour s’élever humainement, sociologiquement permet d’accéder au bonheur.


Fin du citat.

La royauté n'a jamais été une garantie pour que qui que ce soit s'annoblît par effort ou par sacrifice ou par humilité. Elle a par contre donné occasion à pas mal de s'anoblir de cette façon - mais en exigeant pas exactement ça, mais autre chose plus concrète. Elle a aussi respecté les droits innés ou acquis de chacun, pas en fonction des évidences de noblesse avec lesquelles se déroule l'exercise de ces droits, mais en fonction que l'exercise se borne au droits d'un-même sans blesser ceux d'autrui de façon suffisemment éclatante pour être illégale. Uniquement au service du roi - fonction qui n'était pas du tout celle de la plupart de ses sujets! - il pouvait outre le respect des lois exiger un certain style. On ne traite pas chaque sujet comme un chevalier dont déjà lâcheté ou négligence soit une attitude à punir, ni l'église ne traite pas chaque fidèle comme obligé à porter fruit centuple : mais dans la vie chrétienne il y a ceux qui portent fruit trentuple, et dans la vie d'un état ceux qui sont égoistes dans les limites de la loi. Ni les uns, ni les autres ne sont châtiables par la justice des hommes, fût-elle royale. Même les poètes ne sont pas tous poètes lauréats.

Un autre homme - américain - avait dit que la justification pour avoir une entreprise n'est pas d'être indépendant mais de servir ainsi le plus efficacement les besoins du public - chose que les Communistes ont certainement dit aux Koulakes.

Remontons à "l'allongement de la vie humaine" - une hérésie dans la médicine.

La limite naturelle reste la même. Il peut y avoir plus ou moins de raisons de mourir avant cette limite naturelle, pourtant elle reste là. Comme les autres limites naturelles: entre enfance et l'âge puéril ou scolaire, entre l'âge puéril et l'adolescence qui et le minimum naturel pour pouvoir se marier, et pour la femme encore deux autres limites assez infléchissibles, liées à la réproduction: celle à trente (certains comptent déjà 25) entre fille et vieille fille, ce qui concerne les non-mariées, car enfanter avant cette limite donne un autre résultat pour les années à suivre, celle aussi de la ménopause.

On peut par une alimentation et hygiène de vie saine repousser la mort aux limites naturelles de la vie, mais pas au-delà. On ne pourra jamais faire vivre les hommes 200 ans par des moyens médicaux. Une vie de plusieurs siècles était donnée aux hommes antédiluviens (sauf aux tués, comme Abel et peut-être la population de Dordogne aussi) et à certains patriarches après le déluge. La médicine ne peut pas faire l'œuvre de Dieu.

Faire vivre quelqu'un bien audelà de sa limite personnelle par transplantation cardiaque est en plus en fonction d'une vie abrégée d'un autre, toxicomane en overdose ou accidenté de route. Donc, éthiquement pour le moindre dubieux, mais probablement condamnable.

L'abbé Pagés avait posé l'argument pour interdire les mariages sous 18 (si je l'avais bien compris) qu'à l'époque ou la limite était 14 pour le marié et 12 pour la mariée on avait une expectation de vie de 40 ans, et si la limite de la mort fléchit, la limite pour le mariage le doit aussi. Ce qui est et restera des pures balivernes, l'âge d'une mort naturel - plutôt que liée à maladies sans rapport avec l'âge ou liée aux violances ou aux accidents - n'a jamais été 40, biologiquement. Ni parmi les Cro Magnons à Dordogne, quoique là il y avait beaucoup des morts précoces, ni au Moyen Âge. Une mauvaise nourriture peut hâter la mort, mais c'est une bonne qui hâte la puberté, et cérébrale (prépuberté, donc) et génitale.

Ce que les Communistes ont nié en haussant l'âge minimum du mariage à 18 après la Révolution Russe. L'allongement de la vie en était aussi un prétexte pour croire le progrès.

Jacques Trémolet de Villers nous donne une autre variante de cette hérésie:

"... par example, avec l'allongement de la vie humaine ..."

Mais justément, il n'y a pas cet allongement!

"... faut-il, obligatoirement, attendre la mort du Roi pour que son dauphin - ou sa dauphine - lui succède? Aurons-nous des règnes qui commencent, avec un jeune roi de 75 ans?"

75 ans ne sera jamais un jeune homme. Demandez-vous quel aurait été l'âge du fils ainé de Louis XIV, s'il avait vécu comme dauphin jusqu'à la mort de celui-ci. Si Louis XV avait une régence, c'est qu'il n'était pas le fils, mais plus loin descendant, il me semble arrière-petit-fils, de Louis XIV.

La mort et l'abdication sont les deux façons de finir une règne, de jure. Et l'abolition de l'office, mais ça n'est que trop souvent un acte révolutionnaire, de facto mais sans en être un de jure.

Hans-Georg Lundahl
Georges Pompidou, Beaubourg
Octave de l'Assomption de
l'An du Seigneur 2011

Je n'ai pourtant pas dit que la seule façon dont on pouvait se débarrasser d'une république reconnue comme devenue tyrannique serait d'attendre qu'un Roi reclame son thrône. Franco n'était pas un Carliste en obéissance à un prétendant carliste, il avait juste vu la non-paix imposée par Azaña à l'église et aux propritéatires, l'insécurité des politiciens de la droite, comme Calvo Sotelo ou José Antonio. Si les molochistes rodent, soit par la "médicine" - avortionnistes, euthanasistes, transplantateurs au moins en chasse d'organes vitaux - soit dans des sacrifices humains sournois comme on l'a reclamé d'avoir répéré pour Bohemian Grove, comme il y avait une fille trouvé encinéré avant St Jean cette année, je viens de signaler la piste à cette préfecture là, et les autorités ne font rien, il n'est pas faux de reclamer une restoration royale pour pouvoir poursuivre ces criminels et protéger des vies innocentes. Si c'est possible.

dimanche 21 août 2011

Neither irrealism nor postmodernism ...

Yesterday I had the dubious pleasure to be spoken to by probably a Jew. He pretended to be Catholic as I, but it seems his philosophical stance on God was a materialist one, like that of Jews and Jehovah's Witnesses and Old Russellians. Maybe even a fervent believer in Tsistum as a preliminary for creation. Anyway, being Catholic, being Creationist and Geocentric, I stated what I believe, and I got a comment about the worth of "irrealism" ... as if I had chosen my beliefs for contrast rather than conformity with reality insofar as it is knowable.

Fortunately I had the pleasure today to get a comment from a Catholic in FB, since he is a writer, I can tell his name is Richard Aleman:

I speak three languages and I still can't understand postmodern philosophy.


Here is my reply:

It is not a philosophy. Yesterday I talked to a Jew (probable such) who after hearing my view on creation just wanted to state - as "an even better idea" that God needed to make emptiness before creating anything and who wanted to know whet...her I thought matter primordial. That is not philosophy, it is bragging about a non-stated or half-stated philosophy and selling undecidedness off as philosophical to the ones whose philosophy they do not like.


I revisited the status and found a comment above mine which I just had not noticed, by yet another writer I know more or less, John Médaille:

The best--and esiest--introduction is James A. K. Smith's "Who's Afraid of Postmodernism." It's a short book. My review of it is at http://www.frontporchrepublic.com/2009/06/is-the-devil-from-paris/


And I quote from that review:

Postmodernism is a philosophical movement that originates largely with a legion of Frenchmen, three in particular, Jacques Derrida, Jean-François Lyotard, and Michel Foucault. This “unholy trinity” (as Jamie Smith calls them) has raised a challenge to the received wisdom of Enlightenment thought that many find as perplexing as it is (at times) incomprehensible. ... However, as much as persons of faith might appreciate a challenge to such rationalism, they often find that postmodernism has a basic problem. Namely, although it purports to reject the Enlightenment’s notions of truth, it regards these notions as the only possible notions of truth. Hence, postmodernism secretly accepts back what it rejects, and ends up rejecting truth itself; it therefore ends in nihilism.


My only problems with some trads in St Nicolas de Chardonnet as far as philosophy goes, is that they too accept too much enlightenement, as if Heliocentrism or Acentrism with orbitting around the sun, or at least an earth turning about itself each day were the only real claimants on philosophical truth and rejecting that were some embracing of falsehood for falsehood's sake. But that man also - whatever his confession - had a real problem seeing a moving earth as doubtable or even as possible to consider false, despite the fact neither he nor I ever saw it move around other than on films or television.

And a lot of people have a difficulty grasping I am not writing with my tongue in cheek every article, nor is it madness to give a real and convicted opposition to, not truth, but what Enlightenment claimed to be truth.

A complete philosophy must ask itself not only what is, insofar as we know it, but how we can know it. An atheist can "know" the earth is moving because he knows only God could turn the Universe around it every day. And since he "knows" there is no God, he "knows" it is the earth that turns each day. He can also "know" that earth cannot be centre of all universe, since even slower movements in it would be too intricate not to be directed by an intelligence, which every sane man would call God.

And an atheist can "know" the creation story cannot be true, at least not verse one of either Genesis or Gospel of St John, since it means the eternal background to all that began is spiritual and living. He "knows" life and intelligence are byproducts of matter or energy.

We as Christians of course know no such thing. We know on the contrary that God is indeed both creator, intelligent and all powerful - what he needs to be to order an universe with sun and moon turning around zodiak, and turn it around earth each day.

Hans-Georg Lundahl
Sunday in Octave of
Assumption, 2011
Paris

Starbucks ... quelle bonheur (quand on se le paie)!

Une des premières choses que j'ai faites en touchant la somme d'argent envoyée par ma grandmère, était de me payer un grand thé sur le Starbucks de Boulogne-Billancourt.

Je ne serais pas très bien capable à travailler sur Starbucks, j'ai 43 ans et il me manque un dent en avant. En plus, il y a des moments que le personnel doit faire face à un stress considérable, quand vingt personnes font la queue pour leurs petits-déjeuners, par example. Mais je les admirent, ceux et celles qui y travaillent.

Et j'aime très bien l'assortiment de boissons chaudes. Je l'aimerais probablement aussi en achetant les cafés, mais là je manque les moyens de les préparer. Quoi que ... il y a quelques ans, ils avaient déposé la marque "Christmas Blend" comme sous-tître de leur marque "Starbucks", et ensuite ils avaient porté plainte contre un monastère qui avaient eux aussi leur "Christmas Blend" - comme sous-tître à leur brand. Heureusement, le bon sens a prévalu. Ils ont retiré la plainte. J'imagine qu'un employé de bureau ... pas forcément un chrétien catholique ou orthodoxe et là il arrive qu'il y ait hargne contre la sainte religion et ses monastères, on ne peut pas interdire à Starbucks d'employer des non-chrétiens ou des protestants ... avait eu le café trop corsé (dites-lui, il y a un très bon café latte!) et l'estomac un peu trop brulant, il avait fait un petit cirque sur le thème "à quoi bon déposer les marques si on ne les protège pas" ... on n'avait pas voulu le contrarier ... mais, enfin, le bon sens a prévalu. Que ce soit malgré lui ou grâce à un changement de cœur chez lui, je ne le sais pas, mais il a prévalu, le bon sens.

Espérons qu'il n'auront pas l'idé de déposer la marque "Coffee". Ou "Tea". Ou "Tanzania" (dont provient un de leurs cafés d'origine controlée). Mais déjà "Christmas Blend", il y a quand même d'autres qui pourraient faire une telle chose précisement en café et qui devraient raisonnablement avoir le droit de l'appeler comme telle. Si ce n'était pas le cas avec Illy ou Eduscho (peut-être ils ont plutôt "Mélange de Noël" et "Weihnachtsmischung", peut-être ils ne font pas d'autres mélanges pour telle ou telle occasion même festive que les mélanges qu'ils font d'habitude), c'était le cas avec un petit monastère qui produit du café. Et puisque Starbucks n'a pas en fin de compte attaqué leur bon droit, alors, n'ayons pas honte d'aller boire un latte tall ou vinti chez Starbucks. Ou, comme ce soir là à Boulogne-Billancourt, un thé. Il était très bon.

Hans-Georg Lundahl
BpI, Georges Pompidou, Paris
21-VIII-2011, dimanche
dans l'octave de l'Assomption

mercredi 17 août 2011

"You-Cat" No-Cat-But-A-Weasel, Part-2

In Question 42, YOUCAT asks: “Can someone accept the theory of evolution and still believe in the Creator?” It answers:

Yes. Although it is a different kind of knowledge, faith is open to the findings and hypotheses of the sciences…A Christian can accept the theory of evolution as a helpful explanatory model, provided he does not fall into the heresy of evolutionism, which views man as the random product of biological processes.


One can of course still believe in a creator as one creating first cell or guiding evolution, but this is not sufficient for a Christian belief in God, who is not only creator and majestic, but also truthful and author of all texts that constitute the Holy Writ, also known as Holy Bible.

The recall site cites Humani Generis by Pius XII against the error.

Thus, although the fathers of the Council of Trent referred to this foundational text as “the sacred history of Genesis” (15) and Pope Pius XII confirmed in the 1950 encyclical Humani Generis that the first eleven chapters of Genesis ”are truly a kind of history” one sees the authors of YOUCAT taking the destructive path that the Modernists first forged more than a century ago. (16)


Unfortunately Humani Generis is not quite categoric in ruling out prolonged scenarios in which six days stand for six long periods. Church Fathers do explain the six days mostly as six days as we know them, but some as six instants in which the angels apprehended the single instant creation. Single instant is of course shorter than six days, no Church Father says the six days are as in creation longer than six days. Neither does it rule out quite categorically that Adam could have had ancestors as to his body, which the site here does not cite, but it cites a patristic counterargument:

In reality, however, the Catholic Church rejected this view long before Charles Darwin, as all Church Fathers and Doctors, including St. Thomas Aquinas, unanimously taught that Adam was created immediately (directly and all at once) by God, from the dust of the earth, and Eve was supernaturally created by God from Adam’s side. This teaching is found throughout the writings of the Fathers and in 561, Pope Pelagius I affirmed it in a profession of faith:

For I confess that…Adam himself and his wife, who were not born of other parents, but were created, the one from the earth, the other…from the rib of man... (18)


(The Sources of Catholic Dogma, Henry Denzinger, p. 91.)

Adam and Eve, a genealogy that places Our Lord as number 72 from Adam, are not just parts of Genesis, but also of Gospel. If Jesus was indeed God, either this was and remains true, or he would have known it was false. And he was and is God. And God is no liar.

Applies of course to miracles of sun standing still (by orders of Joshua) or of demons being cast out (by order of Our Lord Jesus Christ) too. Heliocentrism and psychiatry sqare badly with Biblical and therefore Christian data here.

Hans-Georg Lundahl
Creil
17-VIII-2011

mardi 16 août 2011

"You-Cat"? No-Cat-But-A-Weasel

I am just reading an appeal to recall the You-Cat (Youth Catechism) being distributed in Madrid. I am thus quoting through its quotes:

Question 65 of YOUCAT explains:

There is no man on earth who is not descended from a union of a mother and father. Therefore it is a painful experience for many homosexually oriented people that they do not feel erotically attracted to the opposite sex and necessarily miss out on the physical fruitfulness of the union between man and woman according to human nature and the divine order of creation. Nevertheless, God often leads souls to himself along unusual paths: A lack, a loss, or a wound—if accepted and affirmed—can become a springboard for throwing oneself into the arms of God…


Very obviously - I find it obvious unlike those who wrote petition - it is a question of a mental attraction to the same sex, and not of acts of sodomy or even internal acts of desire of sodomy. However, I have my own axe to grind with that attitude.

Therefore it is a painful experience for many homosexually oriented people that they do not feel erotically attracted to the opposite sex and necessarily miss out on the physical fruitfulness of the union between man and woman according to human nature and the divine order of creation.


What idiotic nonsense. It is not by necessity, but by preferring their attractions to fertility and marriage that they - often but not always - miss out on the physical fruitfulness. There are more reasons than one - like homosexuality being one, but fatigue and therefore "not-feeling-sexy" another or oversexedness and therefore feeling attracted to every pretty unmarried person of opposite sex a third and disappointments from previous rejected proposals a fourth - of not feeling constantly and exclusively very sexually attracted to any one particular person of the opposite sex. Nevertheless, as the Church never said that feeling on top of your form and being very attracted to your wife was a condition for staying validly married or for marrying at all, she never said that homosexual orientation was an obstacle to marriage.

Except of course if a man cannot at all erect in presence of a woman but not through physical erectile dysfunction. But that would usually have been seen as "homosexual orientation" but as a spell or other demonic influence. Actually, what St Paul writing to the Romans said about it is that preference for unnatural intercourse came about among Pagans as a punisment for idolatry. Even without the incapacity for intercourse with a wife. So much more that such incapacity must come from the demon, where it exists (if it exists at all). Perhaps Jews (and some other machoist cultures too) would have counted that as an orientation, or they may have higher demands on purely physical attraction to a woman on part of a man before he can be allowed to marry her. They are also more open to slander about the possible sodomitic inclinations of unmarried persons than the Church.

But to the mind of the Church, what is considered "homosexual orientation" is not necessarily an obstacle to marriage. Any more than fatigue, or insecurity about what person in opposite sex one loves most, or feeling sure to get rejected.

Nevertheless, God often leads souls to himself along unusual paths: A lack, a loss, or a wound—if accepted and affirmed—can become a springboard for throwing oneself into the arms of God…


Here is poison. Vile poison. How many priests have heard some rumour (oh, not from macho blokes on the building block, whom they would not listen to but like from a rabbi or a psychologist or a policeman or a teacher or other representative for an altoogether too judaised elite culture) that someone is a homosexual, when in fact he is not, when in fact he wants very much to marry, and how many of them have dissuaded girl after girl from marrying that man, and how many have then persuaded themselves that they are only helping God to lead a soul to himself along unusual paths? I do not contest the theological fact that God can do that, I am saying this context is the wrongest possible place to bring this up time after time and even in a catechism. And such killers of souls are sure in their hearts they are being scientific and doing the right thing by a person by the lights of scientific truth.

More will come on "scientific truth" or supposed such. Suffice it to say:

- not being very attracted to one's wife happens for other reasons than homosexuality and in most marriages at times
- it neither precludes or necessarily ruins marriage, nor makes it unfertile
- if a homosexual orientation makes a man feel he would do wrong to marry someone without telling her, let him tell her and say how she feels about it. After all, there are lesbians who have the same trouble with men.

Hans-Georg Lundahl
Beauvais
16-VIII-2011

mercredi 10 août 2011

It is easier to smash a shop than to open one ...

... but if you want a future, it is more useful to open a shop than to smash one.


Christiania is defending its shops and houses against police evicting and smashing (ok, some of the shops "were on Pusher Street" and so illegal, but those are not all that the police of Denmark smashed there). London young immigrants are doing what police did in Christiania. By doing so, they show that Marxist revolutionary ideologies are indeed evil, though shooting their most innocent and young adherents (with some of their children or younger siblings brought along too) was not a good thing.

Being richer than someone else is, is not a crime. It is a question of how the money was earned, honestly or not.

How many villas were sacked? But the owner might be as easily an owner of a small shop a bit bigger than the next to you as a bad official or a big business dishonest deal maker.

How many kebab or falafel bars were smashed? None or few I presume. How many restaurants and pubs serving alcohols like beer and gin were smashed? And yet both get their money by serving customers what they want to eat and drink.

How many shops selling fresh dates and peppers and halal butchery were sacked? And how many shops selling bacon and pork meat sausages were sacked? And yet both get their money the same way, selling foods and diapers and drinks and matches and toilet paper and sewing equipment. How come the ones serving the English are more culpable than those serving immigrants from Moslem countries? Because richer? That is not more culpable, that is having more customers.

Banks earn their money partly honestly, keeping it for people until they need it, part dishonestly, taking interest. Not all dishonestly. They do other things than just give loans and take interest. Since they give interest, they give an opportunty to those taking it to repay tothe poor impoverished by competition and by paying interest, such repayment having the characteristics of giving alms. Were banks more or less sacked in proportion as they are used by immigrants? Were any banks sacked at all?

Schools do keep a lot of people in adolescent age in studies they do not care about, but they also serve those who want to study - and would be serving them better if those who did not want so were put out of school and into whatever honest apprenticeship available and acceptable to his or her parents. Libraries are free to visit or not to visit. How many libraries were burnt? In France in 2005 there were some!

Police stations keep people usually captive in order to investigate crimes. Psychiatric hospitals keep one murderer a few months, a thief or one who slapped his girl friend a few years and ruin lives of people who never did wrong to a fly - not as if they thaught that a righteous way of dealing with the deeds of people, but because they do not consider people as doers but as sufferers. Were police stations or mental institutions more sacked? How many innocent victims of those were freed by rioters? How many young ones were brought back to their parents after mistreatments by child welfare? Were rioters not more concerned with freeing fellow rioters or people doing time for drugs or even with freeing noone, just hitting bobbies?

I remember a bobby who helped ma and me when sleeping in Dover, second summer she took me to an English speaking country. I might not like what I hear of secret services, but I do not hate bobbies, and I think they might have been worse off tonight.

The riots tonight have not served the freedom from psychiatry and child welfare, not served the freedom from school compulsion and to get to work and marriage early in life, not served the freedom to open small honest shops. They have only served to give a kind of excuse to the Oslo killer, if not for his actions, and choice of the particular victims he took on, at least for the choice of the groups - Marxist and immigrant - where he looked for them.

I was well treated by Muslims this morning, in France. Others have been ill treated by, presumably also Muslims, this night in England. I am not worth more than they. I cannot tell a butcher making bacon and having his shop sacked tonight for a worth of hundreds orthousands of pounds that Muslims are great because they offered me some coffees and some extra euros this morning. If that is the case, if such were the choices of the rebels and burners tonight. Alas, such is my suspicion. Of course, neither will I tell people here that Muslims suck because there were riots over in London: I did not see those of 2005 (was in countryside), and people here will know how bad or tolerable or absent were riots here, and how many of the rioters were Muslims among the rest. People over here know that better than I.

I do not think every immigrant should get a ticket out of Europe, but I think some London immigrants just earned one.

Hans-Georg Lundahl
Beauvais
St Laurent's day of in the
Year of God's Manhood
Two thousand and eleven.

lundi 8 août 2011

vendredi 5 août 2011

Évitons une société sans raison stratifiée ...

D'accord, dans un même service au public, qu'il soit commercial ou financié par le fisc ou par le denier du culte ou encore par une participation, il y a une hiérarchie, normalement.

Même dans le cas le plus égalitaire normalement possible, il y a une entreprise "NN et fils" il y a aussi une hiérarchie entre M. NN Père et M:s NN les Fils.

Notre Seigneur Jésus-Christ lui-même a ainsi travaillé sous les ordres de St Joseph dans la charpente.

Mais entre les services?

Si les militaires, présumant du fait que les paysans, les artisans et aussi les saints prêtres de la vraie religion catholique leur doivent pour la protection accordée et présumant encore du fait qu'ils peuvent à volonté tourner protection en oppression (à moins que le peuple soit armé, comme en Suisse), s'ils voudraient alors exiger une déférence excessive de tous, ils seraient déjà une tyrannie quasi Nimrodienne. Il y a des gens pour qui ça s'appelle un sens de hiérarchie, il vaut mieux l'appeler une société sans raison ou au moins outre raisons stratifiée.

La stratification va encore outre mésure, si un service décide du bonheur ou du malheur des citoyens ou des sujets. Pas s'il décide des droits de chaque partie, ça s'appelle un justice, ni non plus s'il décide des droits accordés sous certaines conditions (pourvu que le droit soit accordable et que l'état ait les ressources de l'accorder), mais si par exemple la justice elle-même deviendrait un droit sous certaines conditions, de façon de nier aux uns le recours que les autres ont à la justice, ou encore pire, si les droits universelles comme celui de former une famille et d'éléver ses enfants selon des convictions en elles-mêmes pas criminelles, devenaient encore un des droits accordés sous certaines conditions - là il y a une tyrannie manifeste.

Le marché n'est pas seul à pouvoir fournir une tyrannie, il y a des administrations qui vont assez loins dans ce sens aussi. Et quand le marché va dans ce sens, c'est plutôt quand il est dominé par quelques grands acteurs très dominants.

Vivre sous la tyrannie va main en main avec les perversions. Un homme auquel n'est ni permis de faire enfants ni de se reposer du travail et de la table plus que les autres, un homme qui ne peut ni avoir la vie d'un laïc marié chrétien, ni d'un moîne ou religieux ou prêtre seculier chrétien, ascétic mais en paix, untel gravite vers la perversion.

Avec la perversion va une stratification inutile. Comme c'est souvent aujourd'hui une stratification inutile, c'est à dire tyrannie qui condamne des hommes à la perversion.

Car entre homme et femme en couple marié et fertiles, il y a une complémentarité qui n'est pas du pouvoir vis-à-vis la faiblesse et qui prime sur celle-ci. Celle qui fait la fertilité même. Dans les autres cas, quand celle-ci manque, elle se voit remplacée par une complémentarité sinon purement au moins essentiellement basée sur les rapports du pouvoir. Les bestiaux s'en prennent aux bêtes inférieures en raison ou parfois supérieures en forces. Entre homosexuels, notemment entre pédéraste et éphèbe, on voit une nette stratification du pouvoir. Le couple hétérosexuel qui opte pour l'infertilité perd par là parti du sens essentiel de la complémentarité entre homme et femme et tend à la remplacer par une complémentarité moins essentiel, quoique charactéristique, celle des rapports du pouvoir, comme c'est très marqué chez l'infériorité des femmes dans le sati des veuves hindous ou le bondage des nouvelles mariées japonaises. Pour ne pas rappeler d'autres aspects du spectre BDSM. Et les pervers solitaires, enfin, forment aussi une stratification inutile, puisque méprisés pour précisément leur solitude. La façon normale d'éviter tout ça, c'est le couple marié et fertil ou la solitude volontairement coupée de sexualité parce que consacrée à Dieu.

Avec la stratification inutile vont notemment aussi la psychiatrie, la hypnose, la magie (vaoudou, kabbalah ...) et l'esclavagisme - aussi l'esclavage quand il n'est pas tempéré par la fraternité chrétienne entre maître et esclave. Ils s'agit d'une soumission abnorme offerte ou exigée, il s'agit donc aussi d'une domination abnorme reclamée ou accordée. Il peut y être une ingérence perverse dans la sexualité.

Avec va aussi l'idôlatrie: car la flatterie envers Jules César et la vantardise de son contemporain nordique Wodan - le mage qui trompa les suédois un millénaire et demi avant même Gustave Wasa le protestant ou encore quelques siècles de plus avant P. A. Hansson, T. Erlander et Olof Palme les socialistes - ont toutes les deux fondé chacune sa religion devenue bientôt tour à tour antichrétienne. Et flatterie et vantardise sont les charactéristiques d'une société inutilement stratifiée. Psychiatres, hypnotiseurs, mages sont aussi impliqués dans certaines aspects de l'idôlatrie.

L'extrème envers lequel gravite aujourd'hui une certaine sidite spiritualité est de reconnaître comme supérieures les civilisations les plus stratifiés, comme la péruvienne, celle des Mayas, des Hindous, des Japonais shinto ou des Égyptiens et encore reconnaître comme supérieurs les lémuriens ou atlantidiens ou extraterrestres ou néphélim censés les avoir inspirées. On n'a pas le droit au pouvoir par le fait d'être plus doué, mais par le fait d'avoir un tître légitime au pouvoir. Les vieux néphélim ou d'autres géants, voir Merlin l'enchantateur, ou encore des "extraterrestres" de Roswell censés venir "d'autres planètes dans d'autres galaxes" peuvent être tout aussi doués qu'ils veulent, néanmoins, devant Dieu le créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles, ils ne sont que rien ou très peu. Or, il s'est incarné, et il n'est pas devenu Pharaon, ni Inca, il est né dans un étable, dans une grotte, il est mort parmi les criminels à exécuter, et resuscité de parmi les morts, il s'est montré ni à Hérode, ni à Pilate, mais aux pêcheurs venus la nuit dans leurs bâteaux et qui avaient très peu ou rien pêché la nuit. Là est le tître du pouvoir légitime: reconnaître le crucifié comme son supérieur. Comme l'a fait le successeur éloigné de César, Théodose. Comme l'a fait également le successeur éloigné de Wodan, St Olave de Norvège.

Hans-Georg Lundahl
Beaubourg de Paris, BpI
5 août, l'An de la Grace 2011