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dimanche 25 septembre 2011

L'Esprit d'Escalier

Hier j'ai eu une discussion avec un homme qui me paraissait assez honnête. Mais je l'ai laissé parler un peu plus que de lui répondre, après il y a des choses qui me viennent en esprit.

a) "Les acquis sociaux sont menacés."

Il y a - crois-je - des acquis sociaux et des acquis sociaux.

Certains sont bons et durables. Le neuvième siècle, le Concile de Meaux se trouve obligé à condamner l'esclavagisme, c'est entre Paris et Reims, loin de la Méditerrannée, mais quatre siècles plus tard, c'est à peu près juste en contact avec celle-ci et les Musulmans et Orthodoxes que les Occidentaux Catholiques du Rite Latin prennent des esclaves. Là où l'esclavage fut détruit par l'église qui menaçait les maîtres avec l'enfer s'ils étaient trop durs, il n'a pas été rétabli, même s'il a du être aboli un peu ailleurs, dans les colonies, bien après. Tant que le Christianisme demeure, l'esclavagisme ne peut pas se montrer très ouvertement. Seulement au fur et mésure que le Christianisme s'effrite, l'esclavagisme réapparaît sous autres noms et désignations.

D'autres ne sont pas bons, comme l'avortement.

Mais il y en a aussi qui sont bons, quelque part, mais qui ne sont pas durables.

b) "Les retraites on y va plus tard. Pas de problème pour qqn qui roule la plume, mais pour un ouvrier des chantiers, si."

Autrefois, la retraite était normalement les enfants. Qqn qui roulait la plume pouvait bien se permettre à rester actif jusqu'à cent ans. Ou, si malgré l'aise physique le travail était mentalement pénible, investir dans une rente, devenir rentier. Qqn qui faisait les chantiers - sa retraite était la conscience et fortune de ses enfants, ou, si ses enfants n'avaient aucune possibilité ou volonté de l'aider, celle de ses camarades et voisins. Certes, l'industrialisme appauvrit le XIX S. les ouvriers tellement que c'était devenu difficile pour enfants et entourages d'aider leurs proches, tous ayant mal à faire tourner les choses en rond pour eux-mêmes, et qqs peu d'enfants. Mais ça n'était pas une fatalité, ça c'était puisque les petits entreprises se faisaient bouffer par les grandes.

Une fondation pour les retraites, que la caisse soit privée, une association obligatoire, l'état lui-même ou quoi que ce soit, n'est pas une tire-lire, beaucoup plus proche d'une banque.

Dans une tire-lire, on y met une pièce, elle y reste et on la retrouve première occasion qu'on veut, si personne n'ait volé de la tire-lire. Une banque ou une caisse pour les retraites ou une assurance n'est pas ça. Ce qui reste n'est pas la pièce matérielle, ni donc leur somme exacte par ajouts successifs, mais la somme des droits acquis pour le futur en revanche d'un dépôt présent. Car la banque ou l'assurance ou la caisse pour retraites va aussi-tôt dépenser la somme, matérielle ou idéelle, en d'autres obligations de versement et le jour qu'elle aura à vous reverser votre dépôt, elle comptera sur les dépôt qu'on faira alors. Dans le cas des retraites, les retraites futures, pour les avoir réellement, il ne faut pas juste avoir acquis les droits par cotisations, il faut qu'il y aura dans le futur suffisemment des gens qui côtisent de leur tour.

Avec la dénatalité, il n'y en a pas.

Ni avec les naissances françaises de souche, il y en a trop peu, ni avec l'immigration, car le jour que les immigrés se rendent compte qu'ils peuvent voter un autre système et ne plus avoir à côtiser aux retraites des gens qui ne sont pas leurs proches, ils changeront le système. Pas parce qu'ils sont méchants, mais parce qu'ils ne sont pas stupides. Et vivre sous leur protection peut s'avérer pénible, encore une fois pas parce qu'ils sont méchants, mais parce qu'ils sont étrangers. Ils ont d'autres expectations sur ce que des vieillards peuvent s'attendre en absence d'avoir fait et nourri d'enfants quand ils pouvaient.

c) Les retraites sont en compétition avec d'autres acquis sociaux.

En tant que le Trésor Public gère en quelle que soit la façon les côtisations, les versements sont en compétition avec les autres versements du Trésor Public.

Élargir le nombre d'élèves qui vont tard encore à l'école, d'une côté ça dévalorise les diplomes en tant qu'ascensceur social, mais de l'autre côté, c'est encore une dépense en compétition avec les retraites. À moins que les côtisations soient bien mises à côté du reste et qu'elles soient la seule base - sans impôts ni emprunts à encore ajouter - des retraites.

Et l'avortement, les contraceptives, la psychiatrie et d'autres choses qui empêchent un homme de former une famille (avec ou sans son consentiment), ça coûte pour les retraites deux fois: une fois quand il y a une autre dépense que les retraites, mais aussi d'autres fois quand il y aura moins d'enfants faits qui pourront travailler et côtiser dans le futur.

La même chose est biensur vrai quand on met des filles en foyers qui autrefois auraient pu être déjà mariées:

Appel à Brigitte Saintpère, avocate à la cour, Reims

Que cet appel ne soit pas oublié!

d) "Ils coupent les retraites pour nous, mais vivent bien eux-mêmes."

Certes. L'état étant une grande et riche entreprise et la démocratie ne permettant pas qu'on s'en enriche trop longtemps par personne ou patronyme, ils font de façon de profiter tant qu'ils peuvent. Pour leurs enfants, parce qu'ils y font plus confiance que dans les retraites.

On a fait référence à dépenses de gardes de corps, de dépenses privés, des transports.

Avec un roi plutôt que plusieurs présidents successifs, il y aura moins de gardes de corps, car moins de personnes avec tels.

Les dépenses privés, moins il y en aura de politiciens, par exemple dans une monarchie, moins ça sera nécessaire.

Si - comme avant les 130 ans sans convocation des États Généraux - le parlement n'est pas un métier en autre localité que le domicile principale mais une stage qqs semaines les trois ans ou qqc comme ça, alors il y aura moins de transports.

Je viens de nommer l'Ancien Régime, alors on se demande quelles étaient les dépenses de Louis XVI, Marie-Antoinette et leurs enfants pour voyages et pour dépenses privées avant la Révolution surtout.

La Reine portait un nouveau collier avant chaque fête. Oh l'horreur, pensez-vous! Non, car d'un côté, après chaque fête il y avait une noble qui pourra se vanter d'avoir acheté le collier qu'elle avait porté à telle ou telle fête. Elle sera celle dont le mari ou galant avait offert le plus haut prix sur l'enchère. Après, pas tel ou tel pourcentage mais le tout de l'enchère était offert aux pauvres par la Reine. Elle le faisait pour soi-même mais aussi pour mettre un example à suivre. Donc les pauvres en profitaient. De l'autre côté, elle achetait tout en France, sauf dons faits par sa famille en Autriche (l'empéreur Joseph II, le futur et meilleur empéreur François) ou par des diplomates (ajoutons que les rumeurs à propos elle et Axel von Fersen sont absurdes, car il était trop professionnel et en plus il avait trop des paramours pour jouer Lancelot et Guinevère avec le Reine, c'est un insulte à la virilité du roi aussi qui n'était pas mauvaise). Un orfèvre français avait travail et pouvait gagner argent sans ni faire des choses plus pénibles, ni mendier. Il le partageait avec ses compagnons, et avec sa famille et avec les pauvres qui profitaient éventuellement de ses aumônes. Et chaque dépense de ces gens profitait à d'autres français. Item pour le couturier, pour le tissier, et c.

Un voyage en avion ou en voiture coûte pétrol, dépenses vers d'autres états, car la France n'en a pas dans sa nature. Le voyage entre Versailles et les Tuileries se faisait sur les épaules d'un peuple bien français. La fuite à Varennes comme tout autre voyage en calèche, se faisait par des chevaux français tenus par des palefreniers français, et les chevaux mangeaient foin français cultivé par des paysans français. Qui étaient aussi payés. Et qui dépensaient aussi en France.

Hans-Georg Lundahl
Beauvais
25-IX-2011

mardi 21 septembre 2010

Another reason to allow young marriages

Married couples with children are less easily trapped into either sex trade or bad relations with married and blasé men.

Here is a link about that sex trade by the way: http://7.ly/cuy (the real url is from care2 causes)./HGL

lundi 12 juillet 2010

What I see as rot in here ...

I was talking with a European in one of the former colonies of Spain.

He was upset by a certain noticeable political self hatred in Europe.

I explained there were two reasons the left had for forgetting the past:

  • Self hatred for shame for recent past like World War II or colonisation.
  • Hopes for near future, about global justice or about making the world one village.


He said: Europe is not just Hitler, it is also the people who stopped him. And now, islamo-fascism is eating us.

He wondered for the reasons of the left. I answered, for one century up to 1950 or so, many universities in England and US taught us to undervalue or feel disgust at Christianity's and Christendom's history and to praise "tolerant" Al-Andaluz, the mentality lives on.

Where are those tolerant Muslims?

Well, I told him about one Muslim in uniform of the public gardens telling the picknickers they must not drink alcohol. Peaceful picknickers, students, well behaved girls. Even ;) too well behaved to speak with me, I could have added. And it was wine, not distilled stuff. One bottle on four girls.

I explained that the pro-Muslim attitude comes from one-sided school teaching. It is also inculcated by a kind of extortion: people who consider National Front are told by teachers, doctors, social assistants and so on, they should not, those values are not supported. Also, they often have Muslim neighbours.

Also, he was surprised Muslims vote here. He took it for granted Muslims have no democracy in their countries, I told them Algeria has elections and a Parliament recently voting as a law that the 130 years of colonialisation were a crime. They have not, I could have added, voted any law saying the slave hunt before Charles X was a crime or that the rising of Abd-el-Kader was.

He was shocked to hear the Muslims are not only citizens but even 10%. He said they have 4 children, European women not even 2, do the mathematics.

I said, I do tell Europeans should get more children.

He wondered about what it would take before Europeans kicked the Muslims back to their countries. I said I did not know.

He said we are nihilists if we let this go on. I answered, no, not really nihilists, but ver bad moralists. It is supposed to be immoral to stop a Muslim from entering a country which is richer and more peaceful than his own. Or to kick him out. Or to get "more children than one can support" (as if there were no difference in the efforts of supporting generally speaking between a celibatarian and a father).

I could have added: many appreciate tolerant Muslims as festive company, as hashish dealers, but also as experts on drug addiction, how to "know" when someone is alcoholic, or how to deal with alcoholism. The new policy in public gardens was not decided by Moslems alone. I could have added atheists and free masons sometimes appreciate them for calling Christianity what they themselves also consider it: madness. Including in psychiatry.

We did not speak about the Spanish kings for a short while, and for much longer the Portuguese ones, who accepted African men's witness they had taken fellow African's slaves in just wars of defence and were selling only war criminals. As now we take very many men's witness they came here for just reasons. That also diminishes for a historic moment the freedom European Christendom usually enjoys. This one.

He told me: they are human, like you. They are not unbeatable. They are weaker, since they have no [correct] values. He meant, I suppose, the left that supports Moslems to the extreme of exposing Christians.

Hans-Georg Lundahl
12/VII/2010

I think he underestimates difficulties. Librarians are supposed to be civilised people, but here I tried to access in Bibliothèque publique d'Information Beaubourg today's saint, by the Roman Martyrology in French, service supplied by laportelatine a site by the people who celebrate Latin Mass and did so when John Paul II was disfavourable to it, and it is blocked. As if contrary to conditions to consult.

The guy says there must be a way; I answer I hope so.

mardi 6 juillet 2010

St Maria Goretti and more from Catholic News Agency

St Maria Goretti

Questions on "Uterine Isolation"

Two controversial historic issues:

Slavery and the Catholic Church - at the very least it is clear that the Church condemned slave hunt and slavery resulting from such whenever that was known.
Pope Pius XII and the Holocoast.

God bless indeed America for allowing Catholic News Agency, this is what communists and free masons in some countries try to censor. Truth is precious./HGL