samedi 26 mars 2011

Et non, monsieur l'abbé, pour moi, la liberté ne fut pas un mot magique

Et ce n'est pas en me donnant trop des libertés que ma mère aurait causé l'esclavage apparent qui fut le mien en prison, c'est en me voulant donner d'avantage de répères qu'avait fait ma mère que d'autres m'ont parfois poussé à des péchés, faute de pouvoir satisfaire aux mêmes pulsions en soi légitimes par la solution catholique légitime, soit encore à des situations où j'ai bravé une légalité apparente pour soutenir la morale catholique et ma liberté légitime. Un policier m'avait fait une telle attaque que même contre le pape j'aurais eu le droit de me défendre même avec des armes* - il ne fut qu'un policier et j'ai pris la sienne.

Ce matin je viens de lire comment dans le Sud-Ouest une mêre beaucoup moins sage que la mienne il me semble vient par le fait sans doute de vouloir hospitaliser son fils le provoquer à la scalper - elle était en vie - et de blesser avec machete quatre policiers.

Moi, je n'ai pas blessé ma mère mais plutôt elle est fière, surtout du fait que le policier est en vie, mais il a une cicatrice sur la hanche. Et je remercie la Sainte Agathe pour le bienfait d'avoir été ce jour là en 1998 épargné de la psychiatrie, ne fut-ce en allant en prison de détention. Plus tard, après une première acquittation, et fuite devant le deuxième procés condamné à une peine dont j'ai persolvé les deux tiers très légalement, et après je n'ai pas eu le malheur d'être mis en psychiatrie.

Hans-Georg Lundahl
Georges Pompidou/Paris
26 Mars 2011, anniversaire
de Rue d'Isly 1962

*Merci Michael Davies, Monseigneur Lefèbvre, St Thomas d'Aquin et St Robert Bellarmin!

MISE-À-JOUR le 2 avril:

Comme le disait si bien La Bleue Marine "on peut se sentir visé sans se sentir coupable".

Mais honnêtement, je viens d'apprendre que le principe "pas d'ennemi à droite" est une réponse à "pas d'ennemi à gauche" des gauchistes. Et, pour moi, ça ressemble un peu à le genre de partisanisme que dénonçait Georges Bernanos dans "La Trahison des Clerks". En plus, Chesterton n'aurait pas été d'accord, pour lui la droite et la gauche parlemenatires d'Angleterre n'étaient que messieurs Hudge and Gudge, juste un peu plus différents que Dupond et Dupont.

Donc, si je peux me permettre, je me ferais peut-être UN ennemi à droite.

Car, c'est pusillanime de ne pas oser ouvertement critiquer de Gaulle dont vous dites que le "nom ne peut même pas être prononcé", quand il a fait une chose catastrophique la semaine avant "rue d'Isly" et quand son mobile de changer opinion - noté dans son autobiographie - était si débile, un docteur ou étudiant de médecine d'origine algérienne qui pleurnichait sur la dépendance politique d'une communauté qui, comme vous avez très bien dit, n'existait même pas avant cette dépendance, puisque la dépendance avant, celle des Turcs, ne l'avait pas créée.

Il y a un Norbert qui serait bien d'accord avec vous, que j'ai connu en Vaucluse.

Quitte à moi de déplorer une autre décision degaullienne davantage, la rationalisation des entreprises, notemment des fermes en des entreprises plus grandes et rationnelles, imposée par la fiscalité - comme en Espagne sous le régime dit Tecnocracía, mais en pire - et pire encore les Social-démocrates suédois et comme les pires jusqu'à plus les communistes. Quitte à moi aussi de me tenir dehors les débâts brûlants, vu que je ne suis ni algérois, ni autre français, mais suédois. Honorer les victimes de rue d'Isly, on le peut sans aller jusqu'à épouser chaque cause des survivants après les faits.

C'est pusillanime de vous de ne pas vous reclamer ouvertement du nom autant que du prénom du "cher Léon" - Degrelle, exilé en Espagne. Car on n'est pas en Belgique où mentionner son nom et prénom constitue un délit. Je ne crois même pas que la justice belge serait très intéressé de poursuivre des délits là-dessus hors le pays.

Quitte à vous de dire que si avec la justice en communauté européenne et la loi - plutôt pseudo-législation, comme après une distinction importante thomasienne - belge, c'était quand même une prudence.

Quitte à moi de dire que s'ils disait qu'il y a "mille raisons de se battre", la préférée peut être une pour vous et une autre pour moi.

HGL

MISE-À-JOUR, 4-IV.

Jugement sur FB de Bitch: ça serait - y laisser trainer les jeunes - défaire les âmes pas encore faites.

Et les laisser trainer à Paris? Et à l'école publique (où pas mal des élèves des parents catholiques traditionnels doivent trainer faute de pouvoir scolariser à Bitch ou à la maison)? Quand aux vertus de la volonté, je peux témoigner, que dans la mésure quelque part que mon âme soit été défaite avant ou même après d'être faite, les harcèlements à l'école publique y ont contribué, mais pas FB. Ni les conditions qui regnent sur FB. On peut être blessé sur FB, mais on peut aussi se rétirer des gens blessants. Et sinon, c'est parce qu'on les côtoie à la cour de récré où ils se vengent pour le fait qu'on les a largué autre part.

Autre jugement de Bitch, qu'il soit à propos de FB ou pas: on voudrait des gens de conviction, pas d'opinions flottantes.

Fort bien. Je suis un homme de conviction. Entre autres la conviction que les athées sont fort mauvais en logique. Et que les mystagogues, quoique légèrement moins illogiques que les athées, sont fort déficients en bon sens. Il y a pas mal de mes convictions qui datent de ma lecture de Tolkien, pas seulement sa fiction, mais aussi ses lettres et ses essais ou allocutions académiques. On peut regarder ses lettres en traduction française:

J. R. R. Tolkien: Lettres
Éd.on et sélect.on Humphrey CARPENTER
avec l'assistance de Christopher TOLKIEN
Trad. de l'anglais par Delphine MARTIN et Vincent FERRÉ
Christian BOURGOIS Éd.,
Copyright 1981 et pour la trad. fr. 2005


Je renvoie sur la lettre n° 43 au fils Michael, 6-8 mars 1941, pour beaucoup de mes convictions sur le mariage et sur l'amour. Ou à la page 111 sur la bêtise d'administration en temps de guerre (lettre 61), que je trouve pleinement applicable à d'autres administrations, qui mettent leurs victimes en position comme en guerre (DDASS ou psychiatres, par exemple, ou l'école publique), je récommende aussi les pp. 134 l'observation que dans la réalité il n'y a pas d'Uruks, ou 137 sur les défaut de GKC en termes de philologie nordique et anglosaxonne, et sur la guerre d'Espagne les pages 140 - 143. Le rencontre avec Roy Campbell.

Oui je suis un homme de conviction, et je sais d'où je les ai. Une et sur FB: c'est trop vaste pour être une société corruptrice. Les vrais corruptions se font en société largeur classe d'école.

HGL

MISE-À-JOUR le 13-IV

Ça dit, l'église peut et doit mettre en garde contre mauvaise compagnies ou lectures. Mais mon point est: on ne met pas en garde contre Blackwells Bookshop, Oxford, parce qu'on y trouve Lady Chatterley's Lover, et pas très bien contre FB parce qu'on y trouve quelqu'un qui donne un lien vers un youtube avec Ahmed Deedat - en occurrence, c'était moi, pour montrer comme il était capable de se prononcer malhonnêtement sur le Quicumque Vult, et dans une compagnie qui le connaissait déjà. Mais ça aurait pu être un autre dans une autre compagnie - tout comme ici à Paris on peut faire n'importe quel rencontre, bon ou mauvais.

HGL

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