Celles des fidèles catholiques est Pape, Cardinal, Patriarche, Archévêque ou Métropolite, Évêque, et pour les simples prêtres il y a les Curés et après les Aumôniers. Les diacres, sousdiacres sont dans le rite latin traditionnel depuis au moins Trente, comme les ordres mineurs étapes vers la prêtrise. Et les simples fidèles sont soumis aux prêtres et aux moines et moniales mais différemment, car les moines et moniales sont supérieurs par perfection, les prêtres le sont dans la direction des fidèles.
La féodalité compte Pape et Empéreur, les Rois, les Archiducs et les Ducs, les Margraves ou Marquis, les Comtes, les Barons, puis les Chevaliers et les Écuyers. Par contre, on pouvait bien être soumis au roi sans être soumis au baron le plus proche, par exemple en vivant dans une ville.
Les étapes vers chevalier étaient page et écuyer. Les étapes dans les jurandes - mais tous dans les villes ne vivaient pas non plus dans les jurandes - étaient apprentis et compagnons, dont certains ne devenaient jamais maîtres. Un compagnon était un employé spécialiste, un maître normalement à la fois encore plus spécialiste et un propriétaire de l'entreprise. Mais il y avait des métiers qui n'entraient pas dans cette hierarchie, même dans les villes.
L'armée a des grades d'officiers différents selon les pays. Il y a les générals, les colonels, les capitaines, les lieutenant partout. Après le lieutenant en dessus des sous-officiers on s'appelle Aspirant en France, Fähnrich en Allemagne, et Fänrik en Suède. Les générals ont ses divers grades en commande des armées, des divisions, des brigades. Les colonels en commande des régiments, dont le dernier grade est Commendant en France, mais en Suède on l'appelle Major, ce qu'ici veut dire autre chose. Capitaines, lietenants, aspirants sont les officiers des compagnies. Les sous-officiers, dont le grade caporal est assez repandu en commande des troupes moindre qu'une compagnie. Et les civilistes n'entrent pas dans cette hiérarchie.
Il y a des hiérarchies qui sont même plus sacrés que ces hiérarchies là (et dont la première est la plus sacrée), comme les neuf chœurs des anges sous Dieu et la Sainte Vierge, Mêre de Dieu, c'est la hiérarchie céleste. Il y a aussi la différence infinie entre Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit et les créatures de Dieu. Et il y a aussi la hiérarchie dans la famille.
Il y a, malheureusement, des hiérarchies qui n'en sont pas sauf dans une estimation erronnée. Un père n'est dans sa paternité soumis qu'à Dieu, à la limite, en tant que baptisé et père d'un baptisé à l'église. Il n'est soumis à son patron ou son assistant social qu'en ce qui concerne les méthodes qu'il a ou doit chercher pour nourrir sa famille. Il est erronnée à l'extrème de prétendre que le patron puisse être son chef dans sa paternité même et déjà criminel quand les assistants sociaux des DDASS commencent à dire qu'il doive éduquer ses enfants comme ci ou les nourrir comme ça. Ou encore menacer de les enlever s'il fait pas comme ci et encore les enlever réellement s'il fait comme ça.
Les pères sont égaux entre eux, tous supérieurs de leurs propres enfants, tant qu'il s'agit de leur propres, mais pas des enfants des autres, sauf en tant qu'il font une forme volontaire et dissoluble (au moins par déménagement d'un couple des parents du village ou de la chiourme.) Il sont soumis à Dieu et à l'Église.
Les adultes sont aussi en principe égaux quand à l'usage de leur raison et de leurs émotions. Si tel psychiatre recommende de chercher un psychiatre parce qu'on ressent des émotions "à excès" il s'agit d'un surchérie. S'il observe les émotions d'autrui pour le soumettre éventuellement à des soins forcés, ou à une observation prolongée visant à priver la personne "provisoirement" (ou encore pire) de l'usage de ses libertés civiles, il s'agit du crime. Et une fois sous la psychiatrie, on est garantie de ressentir certains émotions "à excès", puisque la situation provoque cet excès. La situation, pas l'état de base de la personne. Entre psychiatre et patients involontaires, il n'y a pas de vraie hiérarchie, il y a souvent le crime de séquestration ou encore d'instigation à l'abus de pouvoir par calomnies.
Un industriel qui rencontre un mendiant lâché de la psychiatrie n'est normalement pas en position de se plaindre de désinvolture. D'une côté il n'était pas de jure soumis aux psychiatres, de l'autre l'industriel n'est pas de jure son supérieur par l'emploi dans l'entreprise. Il n'y a pas d'hiérarchie sauf peut-être celle de bienfaisance. Et celui qui choisit de donner ne se plaint pas de désinvolture dans la demande, sauf si tel il y ait eu. Trouver un mendiant n'est pas dans le sens d'avoir un droit immédiat à hostilités pour "insoumission" ou de "désinvolture". Sinon, ça serait cette hiérarchie mammonique que certains hautains et riches essaient d'établir ou tiennent pour établis entre riche et pauvre par la seule différence de leurs fortunes. En mépris des vraies hiérarchies.
Hans-Georg Lundahl
BpI, Georges Pompidou
Fête de Ste Jeanne d'Arc ou le
30-V-2011
La féodalité compte Pape et Empéreur, les Rois, les Archiducs et les Ducs, les Margraves ou Marquis, les Comtes, les Barons, puis les Chevaliers et les Écuyers. Par contre, on pouvait bien être soumis au roi sans être soumis au baron le plus proche, par exemple en vivant dans une ville.
Les étapes vers chevalier étaient page et écuyer. Les étapes dans les jurandes - mais tous dans les villes ne vivaient pas non plus dans les jurandes - étaient apprentis et compagnons, dont certains ne devenaient jamais maîtres. Un compagnon était un employé spécialiste, un maître normalement à la fois encore plus spécialiste et un propriétaire de l'entreprise. Mais il y avait des métiers qui n'entraient pas dans cette hierarchie, même dans les villes.
L'armée a des grades d'officiers différents selon les pays. Il y a les générals, les colonels, les capitaines, les lieutenant partout. Après le lieutenant en dessus des sous-officiers on s'appelle Aspirant en France, Fähnrich en Allemagne, et Fänrik en Suède. Les générals ont ses divers grades en commande des armées, des divisions, des brigades. Les colonels en commande des régiments, dont le dernier grade est Commendant en France, mais en Suède on l'appelle Major, ce qu'ici veut dire autre chose. Capitaines, lietenants, aspirants sont les officiers des compagnies. Les sous-officiers, dont le grade caporal est assez repandu en commande des troupes moindre qu'une compagnie. Et les civilistes n'entrent pas dans cette hiérarchie.
Il y a des hiérarchies qui sont même plus sacrés que ces hiérarchies là (et dont la première est la plus sacrée), comme les neuf chœurs des anges sous Dieu et la Sainte Vierge, Mêre de Dieu, c'est la hiérarchie céleste. Il y a aussi la différence infinie entre Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit et les créatures de Dieu. Et il y a aussi la hiérarchie dans la famille.
Il y a, malheureusement, des hiérarchies qui n'en sont pas sauf dans une estimation erronnée. Un père n'est dans sa paternité soumis qu'à Dieu, à la limite, en tant que baptisé et père d'un baptisé à l'église. Il n'est soumis à son patron ou son assistant social qu'en ce qui concerne les méthodes qu'il a ou doit chercher pour nourrir sa famille. Il est erronnée à l'extrème de prétendre que le patron puisse être son chef dans sa paternité même et déjà criminel quand les assistants sociaux des DDASS commencent à dire qu'il doive éduquer ses enfants comme ci ou les nourrir comme ça. Ou encore menacer de les enlever s'il fait pas comme ci et encore les enlever réellement s'il fait comme ça.
Les pères sont égaux entre eux, tous supérieurs de leurs propres enfants, tant qu'il s'agit de leur propres, mais pas des enfants des autres, sauf en tant qu'il font une forme volontaire et dissoluble (au moins par déménagement d'un couple des parents du village ou de la chiourme.) Il sont soumis à Dieu et à l'Église.
Les adultes sont aussi en principe égaux quand à l'usage de leur raison et de leurs émotions. Si tel psychiatre recommende de chercher un psychiatre parce qu'on ressent des émotions "à excès" il s'agit d'un surchérie. S'il observe les émotions d'autrui pour le soumettre éventuellement à des soins forcés, ou à une observation prolongée visant à priver la personne "provisoirement" (ou encore pire) de l'usage de ses libertés civiles, il s'agit du crime. Et une fois sous la psychiatrie, on est garantie de ressentir certains émotions "à excès", puisque la situation provoque cet excès. La situation, pas l'état de base de la personne. Entre psychiatre et patients involontaires, il n'y a pas de vraie hiérarchie, il y a souvent le crime de séquestration ou encore d'instigation à l'abus de pouvoir par calomnies.
Un industriel qui rencontre un mendiant lâché de la psychiatrie n'est normalement pas en position de se plaindre de désinvolture. D'une côté il n'était pas de jure soumis aux psychiatres, de l'autre l'industriel n'est pas de jure son supérieur par l'emploi dans l'entreprise. Il n'y a pas d'hiérarchie sauf peut-être celle de bienfaisance. Et celui qui choisit de donner ne se plaint pas de désinvolture dans la demande, sauf si tel il y ait eu. Trouver un mendiant n'est pas dans le sens d'avoir un droit immédiat à hostilités pour "insoumission" ou de "désinvolture". Sinon, ça serait cette hiérarchie mammonique que certains hautains et riches essaient d'établir ou tiennent pour établis entre riche et pauvre par la seule différence de leurs fortunes. En mépris des vraies hiérarchies.
Hans-Georg Lundahl
BpI, Georges Pompidou
Fête de Ste Jeanne d'Arc ou le
30-V-2011
1 commentaire:
PS: Entre mendiant et bienfaiteur il y a une hiérarchie, mais entre lecteur et écrivain aussi.
Il y a des gens qui voudraient me voir solidemment sur la plus basse gamme, ils n'aiment pas que j'aie des lecteurs et ils voudraient que chaque bienfaiteur devienne le plus méprisant possible envers moi possible, dans la limite de ce que permettent les décences.
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