D'accord, dans un même service au public, qu'il soit commercial ou financié par le fisc ou par le denier du culte ou encore par une participation, il y a une hiérarchie, normalement.
Même dans le cas le plus égalitaire normalement possible, il y a une entreprise "NN et fils" il y a aussi une hiérarchie entre M. NN Père et M:s NN les Fils.
Notre Seigneur Jésus-Christ lui-même a ainsi travaillé sous les ordres de St Joseph dans la charpente.
Mais entre les services?
Si les militaires, présumant du fait que les paysans, les artisans et aussi les saints prêtres de la vraie religion catholique leur doivent pour la protection accordée et présumant encore du fait qu'ils peuvent à volonté tourner protection en oppression (à moins que le peuple soit armé, comme en Suisse), s'ils voudraient alors exiger une déférence excessive de tous, ils seraient déjà une tyrannie quasi Nimrodienne. Il y a des gens pour qui ça s'appelle un sens de hiérarchie, il vaut mieux l'appeler une société sans raison ou au moins outre raisons stratifiée.
La stratification va encore outre mésure, si un service décide du bonheur ou du malheur des citoyens ou des sujets. Pas s'il décide des droits de chaque partie, ça s'appelle un justice, ni non plus s'il décide des droits accordés sous certaines conditions (pourvu que le droit soit accordable et que l'état ait les ressources de l'accorder), mais si par exemple la justice elle-même deviendrait un droit sous certaines conditions, de façon de nier aux uns le recours que les autres ont à la justice, ou encore pire, si les droits universelles comme celui de former une famille et d'éléver ses enfants selon des convictions en elles-mêmes pas criminelles, devenaient encore un des droits accordés sous certaines conditions - là il y a une tyrannie manifeste.
Le marché n'est pas seul à pouvoir fournir une tyrannie, il y a des administrations qui vont assez loins dans ce sens aussi. Et quand le marché va dans ce sens, c'est plutôt quand il est dominé par quelques grands acteurs très dominants.
Vivre sous la tyrannie va main en main avec les perversions. Un homme auquel n'est ni permis de faire enfants ni de se reposer du travail et de la table plus que les autres, un homme qui ne peut ni avoir la vie d'un laïc marié chrétien, ni d'un moîne ou religieux ou prêtre seculier chrétien, ascétic mais en paix, untel gravite vers la perversion.
Avec la perversion va une stratification inutile. Comme c'est souvent aujourd'hui une stratification inutile, c'est à dire tyrannie qui condamne des hommes à la perversion.
Car entre homme et femme en couple marié et fertiles, il y a une complémentarité qui n'est pas du pouvoir vis-à-vis la faiblesse et qui prime sur celle-ci. Celle qui fait la fertilité même. Dans les autres cas, quand celle-ci manque, elle se voit remplacée par une complémentarité sinon purement au moins essentiellement basée sur les rapports du pouvoir. Les bestiaux s'en prennent aux bêtes inférieures en raison ou parfois supérieures en forces. Entre homosexuels, notemment entre pédéraste et éphèbe, on voit une nette stratification du pouvoir. Le couple hétérosexuel qui opte pour l'infertilité perd par là parti du sens essentiel de la complémentarité entre homme et femme et tend à la remplacer par une complémentarité moins essentiel, quoique charactéristique, celle des rapports du pouvoir, comme c'est très marqué chez l'infériorité des femmes dans le sati des veuves hindous ou le bondage des nouvelles mariées japonaises. Pour ne pas rappeler d'autres aspects du spectre BDSM. Et les pervers solitaires, enfin, forment aussi une stratification inutile, puisque méprisés pour précisément leur solitude. La façon normale d'éviter tout ça, c'est le couple marié et fertil ou la solitude volontairement coupée de sexualité parce que consacrée à Dieu.
Avec la stratification inutile vont notemment aussi la psychiatrie, la hypnose, la magie (vaoudou, kabbalah ...) et l'esclavagisme - aussi l'esclavage quand il n'est pas tempéré par la fraternité chrétienne entre maître et esclave. Ils s'agit d'une soumission abnorme offerte ou exigée, il s'agit donc aussi d'une domination abnorme reclamée ou accordée. Il peut y être une ingérence perverse dans la sexualité.
Avec va aussi l'idôlatrie: car la flatterie envers Jules César et la vantardise de son contemporain nordique Wodan - le mage qui trompa les suédois un millénaire et demi avant même Gustave Wasa le protestant ou encore quelques siècles de plus avant P. A. Hansson, T. Erlander et Olof Palme les socialistes - ont toutes les deux fondé chacune sa religion devenue bientôt tour à tour antichrétienne. Et flatterie et vantardise sont les charactéristiques d'une société inutilement stratifiée. Psychiatres, hypnotiseurs, mages sont aussi impliqués dans certaines aspects de l'idôlatrie.
L'extrème envers lequel gravite aujourd'hui une certaine sidite spiritualité est de reconnaître comme supérieures les civilisations les plus stratifiés, comme la péruvienne, celle des Mayas, des Hindous, des Japonais shinto ou des Égyptiens et encore reconnaître comme supérieurs les lémuriens ou atlantidiens ou extraterrestres ou néphélim censés les avoir inspirées. On n'a pas le droit au pouvoir par le fait d'être plus doué, mais par le fait d'avoir un tître légitime au pouvoir. Les vieux néphélim ou d'autres géants, voir Merlin l'enchantateur, ou encore des "extraterrestres" de Roswell censés venir "d'autres planètes dans d'autres galaxes" peuvent être tout aussi doués qu'ils veulent, néanmoins, devant Dieu le créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles, ils ne sont que rien ou très peu. Or, il s'est incarné, et il n'est pas devenu Pharaon, ni Inca, il est né dans un étable, dans une grotte, il est mort parmi les criminels à exécuter, et resuscité de parmi les morts, il s'est montré ni à Hérode, ni à Pilate, mais aux pêcheurs venus la nuit dans leurs bâteaux et qui avaient très peu ou rien pêché la nuit. Là est le tître du pouvoir légitime: reconnaître le crucifié comme son supérieur. Comme l'a fait le successeur éloigné de César, Théodose. Comme l'a fait également le successeur éloigné de Wodan, St Olave de Norvège.
Hans-Georg Lundahl
Beaubourg de Paris, BpI
5 août, l'An de la Grace 2011
Même dans le cas le plus égalitaire normalement possible, il y a une entreprise "NN et fils" il y a aussi une hiérarchie entre M. NN Père et M:s NN les Fils.
Notre Seigneur Jésus-Christ lui-même a ainsi travaillé sous les ordres de St Joseph dans la charpente.
Mais entre les services?
Si les militaires, présumant du fait que les paysans, les artisans et aussi les saints prêtres de la vraie religion catholique leur doivent pour la protection accordée et présumant encore du fait qu'ils peuvent à volonté tourner protection en oppression (à moins que le peuple soit armé, comme en Suisse), s'ils voudraient alors exiger une déférence excessive de tous, ils seraient déjà une tyrannie quasi Nimrodienne. Il y a des gens pour qui ça s'appelle un sens de hiérarchie, il vaut mieux l'appeler une société sans raison ou au moins outre raisons stratifiée.
La stratification va encore outre mésure, si un service décide du bonheur ou du malheur des citoyens ou des sujets. Pas s'il décide des droits de chaque partie, ça s'appelle un justice, ni non plus s'il décide des droits accordés sous certaines conditions (pourvu que le droit soit accordable et que l'état ait les ressources de l'accorder), mais si par exemple la justice elle-même deviendrait un droit sous certaines conditions, de façon de nier aux uns le recours que les autres ont à la justice, ou encore pire, si les droits universelles comme celui de former une famille et d'éléver ses enfants selon des convictions en elles-mêmes pas criminelles, devenaient encore un des droits accordés sous certaines conditions - là il y a une tyrannie manifeste.
Le marché n'est pas seul à pouvoir fournir une tyrannie, il y a des administrations qui vont assez loins dans ce sens aussi. Et quand le marché va dans ce sens, c'est plutôt quand il est dominé par quelques grands acteurs très dominants.
Vivre sous la tyrannie va main en main avec les perversions. Un homme auquel n'est ni permis de faire enfants ni de se reposer du travail et de la table plus que les autres, un homme qui ne peut ni avoir la vie d'un laïc marié chrétien, ni d'un moîne ou religieux ou prêtre seculier chrétien, ascétic mais en paix, untel gravite vers la perversion.
Avec la perversion va une stratification inutile. Comme c'est souvent aujourd'hui une stratification inutile, c'est à dire tyrannie qui condamne des hommes à la perversion.
Car entre homme et femme en couple marié et fertiles, il y a une complémentarité qui n'est pas du pouvoir vis-à-vis la faiblesse et qui prime sur celle-ci. Celle qui fait la fertilité même. Dans les autres cas, quand celle-ci manque, elle se voit remplacée par une complémentarité sinon purement au moins essentiellement basée sur les rapports du pouvoir. Les bestiaux s'en prennent aux bêtes inférieures en raison ou parfois supérieures en forces. Entre homosexuels, notemment entre pédéraste et éphèbe, on voit une nette stratification du pouvoir. Le couple hétérosexuel qui opte pour l'infertilité perd par là parti du sens essentiel de la complémentarité entre homme et femme et tend à la remplacer par une complémentarité moins essentiel, quoique charactéristique, celle des rapports du pouvoir, comme c'est très marqué chez l'infériorité des femmes dans le sati des veuves hindous ou le bondage des nouvelles mariées japonaises. Pour ne pas rappeler d'autres aspects du spectre BDSM. Et les pervers solitaires, enfin, forment aussi une stratification inutile, puisque méprisés pour précisément leur solitude. La façon normale d'éviter tout ça, c'est le couple marié et fertil ou la solitude volontairement coupée de sexualité parce que consacrée à Dieu.
Avec la stratification inutile vont notemment aussi la psychiatrie, la hypnose, la magie (vaoudou, kabbalah ...) et l'esclavagisme - aussi l'esclavage quand il n'est pas tempéré par la fraternité chrétienne entre maître et esclave. Ils s'agit d'une soumission abnorme offerte ou exigée, il s'agit donc aussi d'une domination abnorme reclamée ou accordée. Il peut y être une ingérence perverse dans la sexualité.
Avec va aussi l'idôlatrie: car la flatterie envers Jules César et la vantardise de son contemporain nordique Wodan - le mage qui trompa les suédois un millénaire et demi avant même Gustave Wasa le protestant ou encore quelques siècles de plus avant P. A. Hansson, T. Erlander et Olof Palme les socialistes - ont toutes les deux fondé chacune sa religion devenue bientôt tour à tour antichrétienne. Et flatterie et vantardise sont les charactéristiques d'une société inutilement stratifiée. Psychiatres, hypnotiseurs, mages sont aussi impliqués dans certaines aspects de l'idôlatrie.
L'extrème envers lequel gravite aujourd'hui une certaine sidite spiritualité est de reconnaître comme supérieures les civilisations les plus stratifiés, comme la péruvienne, celle des Mayas, des Hindous, des Japonais shinto ou des Égyptiens et encore reconnaître comme supérieurs les lémuriens ou atlantidiens ou extraterrestres ou néphélim censés les avoir inspirées. On n'a pas le droit au pouvoir par le fait d'être plus doué, mais par le fait d'avoir un tître légitime au pouvoir. Les vieux néphélim ou d'autres géants, voir Merlin l'enchantateur, ou encore des "extraterrestres" de Roswell censés venir "d'autres planètes dans d'autres galaxes" peuvent être tout aussi doués qu'ils veulent, néanmoins, devant Dieu le créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles, ils ne sont que rien ou très peu. Or, il s'est incarné, et il n'est pas devenu Pharaon, ni Inca, il est né dans un étable, dans une grotte, il est mort parmi les criminels à exécuter, et resuscité de parmi les morts, il s'est montré ni à Hérode, ni à Pilate, mais aux pêcheurs venus la nuit dans leurs bâteaux et qui avaient très peu ou rien pêché la nuit. Là est le tître du pouvoir légitime: reconnaître le crucifié comme son supérieur. Comme l'a fait le successeur éloigné de César, Théodose. Comme l'a fait également le successeur éloigné de Wodan, St Olave de Norvège.
Hans-Georg Lundahl
Beaubourg de Paris, BpI
5 août, l'An de la Grace 2011
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