On peut très bien vouloir récriminaliser la sodomie, avec une peine comme les pays chrétiens ont eu jusqu'à récemment: 2 ans travail forcé (pourvu que la peine travaille forcé doive du tout exister, c'était, crois-je, la peine incouru par Oscar Wilde, qui lui fut tellement salutaire qu'à Paris il a pu recevoir les derniers rites (déjà sans conscience à l'arrivée du prêtre) catholiques, ou encore 7 ans de prison, Chypres, ou 2 ans prison, Irlande. Les deux pays orthodoxe et catholique ont aboli la peine plus tard qu'Angleterre, en 1998 les deux, crois-je.
On peut très bien vouloir les éviter ou tenir les contacts à un minimum de courtoisie distancée.
On peut les trouver le comble du mal.
On doit vouloir tenir la définition du mariage correcte. C'est d'ailleurs une définition qui n'exclut pas les hommes ou les femmes à inclinaisons homosexuelles, pourvu biensûr qu'ils aient la lucidité morale de vouloir obéir plutôt à la loi divine qu'à leurs inclinaisons égarés.
Mais on ne leur coupe pas les bites, ni on ne le chante ça.
On ne le fait pas si on essaie d'éviter une société islamisée. Sous la chariate cette peine existe, dans les législations chrétiennes elle a disparu pour les esclaves et n'a jamais été là pour les libres. St Basil disait très à propos que l'inchastété - il parlait de toute forme, non seulement de celle contre nature - ne disparait pas par castration. Ce qu'on lit en Mille et Une Nuits sur les mœurs des eunuques lui donne raison.
En plus: le rap n'est pas un programme pour la chariate en forme paisible, c'est un programme pour les gangsters. On peut licitement parler de homophobie là où on est prêt à maltraiter quelqu'un physiquement ou verbalement comme un pd, sans avoir d'abord vérifié qu'il soit coupable de sodomie. Ou même qu'il soit "handicapé" par une préférance non active pour celle-ci.
Je me sens très mal à l'aise avec des gens qui seraient prêts à me que ça soit couper quelque chose ou me couper de la compagnie des jeunes pour supposition que je sois pervers. Il y en a eu dans le passé.
Je trouve - à différence du journaliste Franck Delétraz, écrivain de présent - que le groupe Sexion d'Assaut aurait probablement choppé une peine encore plus lourde s'ils avaient préconisé de traiter les policiers comme le faisaient avec les algérois les fellaghas dans une guerre un peu trop mémorisée par certaines groupes.
Je ne suis pas devenu traditionnaliste pour avoir à sympathiser avec les algérois chaque fois qu'ils veulent couper une liberté aux musulmans - simple liberté, pas pouvoir sur non-musulmans - en faisaint référence aux fellaghas. Mais je ne le suis pas devenu davantage pour leur faire compagnie quand ils sympathisent avec des attitudes nettement chariatiques, tant que l'objet soit une groupe qu'ils détestent. Et comme je ne suis pas devenu traditionnaliste pour ça, je ne vais pas non plus me détacher de la tradition par manque de sympathie avec ce groupe là de tradis.
Hans-Georg Lundahl
G. Pompidou/Paris-Beaubourg
2/X/2010
On peut très bien vouloir les éviter ou tenir les contacts à un minimum de courtoisie distancée.
On peut les trouver le comble du mal.
On doit vouloir tenir la définition du mariage correcte. C'est d'ailleurs une définition qui n'exclut pas les hommes ou les femmes à inclinaisons homosexuelles, pourvu biensûr qu'ils aient la lucidité morale de vouloir obéir plutôt à la loi divine qu'à leurs inclinaisons égarés.
Mais on ne leur coupe pas les bites, ni on ne le chante ça.
On ne le fait pas si on essaie d'éviter une société islamisée. Sous la chariate cette peine existe, dans les législations chrétiennes elle a disparu pour les esclaves et n'a jamais été là pour les libres. St Basil disait très à propos que l'inchastété - il parlait de toute forme, non seulement de celle contre nature - ne disparait pas par castration. Ce qu'on lit en Mille et Une Nuits sur les mœurs des eunuques lui donne raison.
En plus: le rap n'est pas un programme pour la chariate en forme paisible, c'est un programme pour les gangsters. On peut licitement parler de homophobie là où on est prêt à maltraiter quelqu'un physiquement ou verbalement comme un pd, sans avoir d'abord vérifié qu'il soit coupable de sodomie. Ou même qu'il soit "handicapé" par une préférance non active pour celle-ci.
Je me sens très mal à l'aise avec des gens qui seraient prêts à me que ça soit couper quelque chose ou me couper de la compagnie des jeunes pour supposition que je sois pervers. Il y en a eu dans le passé.
Je trouve - à différence du journaliste Franck Delétraz, écrivain de présent - que le groupe Sexion d'Assaut aurait probablement choppé une peine encore plus lourde s'ils avaient préconisé de traiter les policiers comme le faisaient avec les algérois les fellaghas dans une guerre un peu trop mémorisée par certaines groupes.
Je ne suis pas devenu traditionnaliste pour avoir à sympathiser avec les algérois chaque fois qu'ils veulent couper une liberté aux musulmans - simple liberté, pas pouvoir sur non-musulmans - en faisaint référence aux fellaghas. Mais je ne le suis pas devenu davantage pour leur faire compagnie quand ils sympathisent avec des attitudes nettement chariatiques, tant que l'objet soit une groupe qu'ils détestent. Et comme je ne suis pas devenu traditionnaliste pour ça, je ne vais pas non plus me détacher de la tradition par manque de sympathie avec ce groupe là de tradis.
Hans-Georg Lundahl
G. Pompidou/Paris-Beaubourg
2/X/2010
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