samedi 21 novembre 2009

L'Église s'acharne, jusqu'à canonisation...

J'ai assisté le requiem annuel pour José Antonio Primo de Rivera y Francisco Franco Bahamonde, por gracias de Dios Caudillo d'España. Ont-ils encore besoin? La question ne se pose pas, tant qu'ils ne sont pas canonisés, l'église prie pour eux.

J'avais auparavant accusé Franco d'avoir gardé une reforme d'obligation scolaire d'un régime anticlérical avant lui. C'était heureusement inexacte, si à son décès il y a eu beaucoup plus d'alphabétisés qu'avant sa victoire - une victoire parfois abusée, mais pas comme ça comme je préciserai, mais quand même une victoire qui est aussi celle de Moscardó*, Madrid, Église et Espagne - ce n'est pas par des lois si hérétiques et judaisants gardées d'un régime de gauche, c'est parce l'église avait trouvé utile et une garde contre révolutions futures de donner aux espagnols du bas peuple les lettres, les livres. Franco n'était pas coupable là-dedans.

HGL, qui dit Eviva Cristo Rey, comme en passant Montejurra en 2004

*Merci l'abbé Beauvais! Je m'étais trompé sur l'orthographe!