Mettez-vous dans la peaux d'un compositeur qui est devenu sourd (comme Beethoven) ou qui n'a pas appris le dictat musical (comme moi), les deux connaissant très bien les intervalles qui sont consonants ou dissonants sur le papier, mais les deux incapables d'entendre avec leurs oreilles ce que donne la musique qu'ils écrivent.
Comment faire? Beethoven pouvait pour chaque ligne se fier sur ses mémoires auditives, comme le peut ma mère, quand elle juge mes compositions très bonnes, même après l'accident de feu qui l'a privé de la capacité physique de le démonstrer à l'entourage en les jouant sur une mandoline.
Moi, je peux écrire le rythme très exactement, tant qu'il n'est pas trop compliqué.
Mais Beethoven pour les harmonies et l'interjeu entre les diverses voix? Ou, moi, pour même la mélodie d'une seule voix? Il faut se fier à ses connaissances théoriques.
Une fois, je ne l'ai pas fait tout à a fait. J'ai utilisé le même procédé général qui avait produit tant des thèmes qu'avaient plu à ma mère même quand elle les jouait pas, même quand elle les lisait juste. Sauf pour une des étapes ou j'ai mi chaque voix la note la plus correcte entre les notes avant et après, mais chaque fois sans tenir compte des dissonances entre les voix. Ou, pas sans en tenir compte, mais en me réjouissant de produire une chose capable d'exprimer la douleur.
Cette composition là a été joué, devant des gens curieux de savoir si je pouvais faire le compositeur ou pas. Après 3 ou quatre mésures on s'arrête, on n'a pas écouté quelque chose expressif de la douleur, comme dans les opéras classiques, on a entendu quelque chose dégoûtant comme chez les atonalistes. Pourquoi? "Parce que je ne savais pas composer"? Non. Je savais si bien avant qu'après et pendant: une quarte avec un triton est dissonant. Après je sais aussi: c'est dégueulasse.
Si j'avais gardé les bonnes harmonies pas seulement entre les notes de chaque voix, mais aussi entre les voix, j'avais peut-être pas réussi à faire une expression de douleur comme dans les opéras, mais, j'avais de toute façon évité d'être impliqué dans ce scandale. Et commant sais-je les bonnes harmonies, si je ne suis pas capable d'écrire les intervalles que j'entends, si je n'ai pas de formation adéquate en dictat musicale? Par les lois de l'harmonie. J'aurais juste eu à les suivre ce moment là si bien qu'avant et si bien qu'après.
J'avais calculé une transgression, mais j'avais pas pu calculer le résultat. Beethoven, devenu sourd n'aurait pas osé à jouer à Stravinsky. Moi, n'ayant pas apris le dictat musicale non plus. Ou je n'aurais pas du.
Vous trouverez pas cette composition là sur mon blog musical.
Si quelqu'un aura gardé la partition comme preuve contre mes capacités comme compositeur, il n'aura pas de peine de vérifier que j'ai effectivement fait des choix intelligents, y compris un choix intelligent mais très mal calculé. Ôtez alors les mésures 2, 4, 6, 8 et c. avec les notes de basse qui débordent de ces mésures en appogiatures vers la mésure prochaine. Jouez ce que reste. Ce n'est pas dégueulasse, ce n'est pas quelque chose qui contienne une quarte avec un triton.
Bon, mais dans nos actions, nous savons ce que nous faisons, n'est-ce pas? Alors, pourquoi demander les exigences d'une loi quand nous savons de nous même ce qu'est bien et ce qu'est mal?
Par la chute, nous sommes sourds comme Beethoven. Par la divinté de la loi, nous pouvons arriver au paradis en l'obéissant, notemment en obéissant ses injonctions de ne pas nous fier à nos propres actions, mais à la grace de Dieu, méritée par le Christ sur Calvaire, médiatée, normalement, par les sacrements de l'Église.
Comme il m'est arrivé d'écouter mes compositions de jeunesse jouées par un maître (mon prof de musique, en occurrance). Si nous observons la loi, comme j'ai observé les harmonies.
Si par contre nous calculons faire un effet en brisant la loi ... voudriez-vous, avant de le faire, vous mettre à votre piano, ensuite penser à un compositeur qui avait envie de faire un effet douloureux comme à l'opéra, et ensuite jouer les notes SI, MI, FA ensemble (quarte et triton)? Pensez au jour du jugement comme à l'occasion où vous écouterez finalement votre petite composition jouée par un maître. Suivez les règles de l'harmonie, ne mettez pas SI-MI-FA comme une "harmonie", c'est pas une harmonie, mais une disharmonie. Comme le péché.
Nous savons, d'ailleurs, depuis l'évangile d'ajourd'hui, que c'est permi de guérir pendant le Sabbath, c'est permi de sauver une vie pendant le Sabbath. Ce n'est par contre pas permi de multiplier les mensonges, les arrière-pensées, les intrigues, les incapacités devant l'administration contre les lois et d'autres choses comme ça, ça ne guérit pas.
Et pas non plus d'observer et de réobserver quelqu'un pour voir ce qu'il va faire, ou d'écoter des gens qui font leur profession de faire ça. Si Notre Seigneur a moralement survécu à ça, c'est qu'il est vrai Dieu et vrai Messie. Moi, je n'ai pas survécu aux suivis pharisaïques, regardez-moi comme l'équivalent spirituel d'un cadavre, et tant que je n'ai pas d'espoir d'une pastorale qui tient compte des donnés que j'ai a fournir, plutôt qu'une qui suit les directives de quelques machinations des psychiatres, je n'ai pas l'espoir de vivre une vie chrétienne.
Je ne me suis pas mis audessus de la loi, je n'ai pas lu d'auteurs comme Lobsang Rampa, j'ai vite arrêté la lecture de The Origine of the Species, je ne suis pas coupable d'avoir lu le Saggiatore de Galilée, qui d'ailleurs, est erronée sur les marées (voir le message anglophone Sir George Darwin corrected Galileo on Tides). Si quelqu'un ME compte comme un mauvais auteur, qu'il ME le dise. Quand Rome avait un Index, ceux qui se trouvaient là-dessus, s'ils n'étaient pas déjà morts, avaient le droit de le savoir.
Hans-Georg Lundahl
12/IX/2010
Bibl. Pompidou/Paris
Comment faire? Beethoven pouvait pour chaque ligne se fier sur ses mémoires auditives, comme le peut ma mère, quand elle juge mes compositions très bonnes, même après l'accident de feu qui l'a privé de la capacité physique de le démonstrer à l'entourage en les jouant sur une mandoline.
Moi, je peux écrire le rythme très exactement, tant qu'il n'est pas trop compliqué.
Mais Beethoven pour les harmonies et l'interjeu entre les diverses voix? Ou, moi, pour même la mélodie d'une seule voix? Il faut se fier à ses connaissances théoriques.
Une fois, je ne l'ai pas fait tout à a fait. J'ai utilisé le même procédé général qui avait produit tant des thèmes qu'avaient plu à ma mère même quand elle les jouait pas, même quand elle les lisait juste. Sauf pour une des étapes ou j'ai mi chaque voix la note la plus correcte entre les notes avant et après, mais chaque fois sans tenir compte des dissonances entre les voix. Ou, pas sans en tenir compte, mais en me réjouissant de produire une chose capable d'exprimer la douleur.
Cette composition là a été joué, devant des gens curieux de savoir si je pouvais faire le compositeur ou pas. Après 3 ou quatre mésures on s'arrête, on n'a pas écouté quelque chose expressif de la douleur, comme dans les opéras classiques, on a entendu quelque chose dégoûtant comme chez les atonalistes. Pourquoi? "Parce que je ne savais pas composer"? Non. Je savais si bien avant qu'après et pendant: une quarte avec un triton est dissonant. Après je sais aussi: c'est dégueulasse.
Si j'avais gardé les bonnes harmonies pas seulement entre les notes de chaque voix, mais aussi entre les voix, j'avais peut-être pas réussi à faire une expression de douleur comme dans les opéras, mais, j'avais de toute façon évité d'être impliqué dans ce scandale. Et commant sais-je les bonnes harmonies, si je ne suis pas capable d'écrire les intervalles que j'entends, si je n'ai pas de formation adéquate en dictat musicale? Par les lois de l'harmonie. J'aurais juste eu à les suivre ce moment là si bien qu'avant et si bien qu'après.
J'avais calculé une transgression, mais j'avais pas pu calculer le résultat. Beethoven, devenu sourd n'aurait pas osé à jouer à Stravinsky. Moi, n'ayant pas apris le dictat musicale non plus. Ou je n'aurais pas du.
Vous trouverez pas cette composition là sur mon blog musical.
Si quelqu'un aura gardé la partition comme preuve contre mes capacités comme compositeur, il n'aura pas de peine de vérifier que j'ai effectivement fait des choix intelligents, y compris un choix intelligent mais très mal calculé. Ôtez alors les mésures 2, 4, 6, 8 et c. avec les notes de basse qui débordent de ces mésures en appogiatures vers la mésure prochaine. Jouez ce que reste. Ce n'est pas dégueulasse, ce n'est pas quelque chose qui contienne une quarte avec un triton.
Bon, mais dans nos actions, nous savons ce que nous faisons, n'est-ce pas? Alors, pourquoi demander les exigences d'une loi quand nous savons de nous même ce qu'est bien et ce qu'est mal?
Par la chute, nous sommes sourds comme Beethoven. Par la divinté de la loi, nous pouvons arriver au paradis en l'obéissant, notemment en obéissant ses injonctions de ne pas nous fier à nos propres actions, mais à la grace de Dieu, méritée par le Christ sur Calvaire, médiatée, normalement, par les sacrements de l'Église.
Comme il m'est arrivé d'écouter mes compositions de jeunesse jouées par un maître (mon prof de musique, en occurrance). Si nous observons la loi, comme j'ai observé les harmonies.
Si par contre nous calculons faire un effet en brisant la loi ... voudriez-vous, avant de le faire, vous mettre à votre piano, ensuite penser à un compositeur qui avait envie de faire un effet douloureux comme à l'opéra, et ensuite jouer les notes SI, MI, FA ensemble (quarte et triton)? Pensez au jour du jugement comme à l'occasion où vous écouterez finalement votre petite composition jouée par un maître. Suivez les règles de l'harmonie, ne mettez pas SI-MI-FA comme une "harmonie", c'est pas une harmonie, mais une disharmonie. Comme le péché.
Nous savons, d'ailleurs, depuis l'évangile d'ajourd'hui, que c'est permi de guérir pendant le Sabbath, c'est permi de sauver une vie pendant le Sabbath. Ce n'est par contre pas permi de multiplier les mensonges, les arrière-pensées, les intrigues, les incapacités devant l'administration contre les lois et d'autres choses comme ça, ça ne guérit pas.
Et pas non plus d'observer et de réobserver quelqu'un pour voir ce qu'il va faire, ou d'écoter des gens qui font leur profession de faire ça. Si Notre Seigneur a moralement survécu à ça, c'est qu'il est vrai Dieu et vrai Messie. Moi, je n'ai pas survécu aux suivis pharisaïques, regardez-moi comme l'équivalent spirituel d'un cadavre, et tant que je n'ai pas d'espoir d'une pastorale qui tient compte des donnés que j'ai a fournir, plutôt qu'une qui suit les directives de quelques machinations des psychiatres, je n'ai pas l'espoir de vivre une vie chrétienne.
Je ne me suis pas mis audessus de la loi, je n'ai pas lu d'auteurs comme Lobsang Rampa, j'ai vite arrêté la lecture de The Origine of the Species, je ne suis pas coupable d'avoir lu le Saggiatore de Galilée, qui d'ailleurs, est erronée sur les marées (voir le message anglophone Sir George Darwin corrected Galileo on Tides). Si quelqu'un ME compte comme un mauvais auteur, qu'il ME le dise. Quand Rome avait un Index, ceux qui se trouvaient là-dessus, s'ils n'étaient pas déjà morts, avaient le droit de le savoir.
Hans-Georg Lundahl
12/IX/2010
Bibl. Pompidou/Paris
2 commentaires:
Sir George Darwin corrected Galileo on Tides
PS: si vous voulez savoir mon opinion sur quelque autre sujet, traduisez le mot en anglais, cliquez les mots "petite présentation" juste ci-haut, cliquez ensuite la lettre de l'alphabet latin (j sous i, u et w sous v) et cliquez sur le mot.
La petite présentation fut malheureusement donnée avec un URL abrégé dont l'abrégeur a fait du chaos.
Entretemps, l'URL en toute longueur est, avec le titre:
deretour : Oui, oui, non, non
http://lundahlhans.blogspot.fr/2009/04/oui-oui-non-non.html
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